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Les notes de l’épisode 9 de Top Chef
Le grand retour des cromesquis, une demi-douzaine de plats hyper originaux en forme de marée noire, des grillons qui craquent dans la bouche d'une ministre et, pour finir, un favori qui met un genou à terre, comme à Munich ce soir : la neuvième semaine de Top Chef a tenu toutes ses promesses.
joueurs
Pierre Chomet
Quand on a la réputation d’être un cuisinier « moderne », on n’a pas le droit d’entonner du Manau dès que son chef a le dos tourné.
976 note(s)
Baptiste Trudel
Deuxième fois qu’il se pointe en Dernière Chance, deuxième fois qu’il ne méritait pas d’y être, deuxième fois qu’il s’en sort avec un coup de cœur du jury. Comme un prince.
1028 note(s)
Sarah Mainguy
À tout jamais la première candidate à avoir cuisiné des insectes dans Top Chef, et à avoir fait bouffer des insectes à une ministre. Du très grand art. En revanche, dénoncer les pesticides en mangeant des insectes, ça revient pas un peu à dénoncer la chasse en bouffant un sanglier ?
1021 note(s)
Mohamed Cheikh
Pour une fois qu’il méritait d’atterrir en dernière chance à la place de son coéquipier, Mohamed a vu la bastos lui siffler aux oreilles. On l’aime beaucoup, hein, mais on attend toujours qu’il lâche enfin un plat magistral qui justifiera sa place dans le concours.
984 note(s)
Thomas Chisholm
Alors comme ça des cromesquis au beurre frits dans l’huile, ça peut être trop gras ? Vraiment ? Oh ben ça alors, c’est surprenant ! Le retour dans le ghetto promet d’être amer.
954 note(s)
Matthias Marc
Son association avec Bruno risque de faire frissonner bien des papilles au cours des prochaines semaines de compétition. Tant mieux pour tous ces chefs étoilés qui auront l’immense honneur de goûter les plats préparés par Matthias. Parce qu’il va bien falloir le reconnaître : le gamin a presque autant de talent que d’ego.
1007 note(s)
Bruno Aubin
Après un retour à la compétition étincelant la semaine passée, Bruno se qualifie avec la même facilité face au chef Le Squer. Tellement impressionnant qu’il est capable de nous rendre Matthias sympathique. Immense favori.
1038 note(s)
Arnaud Baptiste
Déjà qu’il devait se battre seul contre tous, ce bon vieux Nono n’a même pas eu le droit de participer à la première épreuve. Heureusement, le thème de la deuxième était fait pour lui : cuisiner un plat « visuellement choquant » . On a craint une nouvelle envolée scatologique, et en fait pas du tout : Nono s’est contenté de plagier comme un salopard le plat de Mauro Colagreco. Du Nono tout craché : zéro subtilité, mais ça passe au (ba)gout.
996 note(s)
Michel Sarran
On n’a toujours pas compris comment ce champion de Michel pouvait se retrouver avec un seul candidat. Mais ce qu’on a bien compris, c’est qu’il avait décidé de rentrer dans la tête de Pierre pour en faire un monstre.
887 note(s)
Philippe Etchebest
Parce qu’on ne devient pas meilleur ouvrier de France en beurrant des tartines, Philou a encore démontré l’étendue de sa palette et prouvé qu’un tiers du talent d’un grand chef réside dans l’intitulé de ses plats. Une pissaladière ratée est une tarte à l’oignon réussie, point barre. La prochaine fois que tu prépares un hachis et que tu fais cramer ta bidoche, annonce à tes invités que tu as cuisiné « une onctueuse mousseline de pommes de terre ».
897 note(s)
Hélène Darroze
Note pour plus tard, à l’intention de tous les futurs candidats coachés par Hélène Darroze : quand Hélène vous dit que ça va être trop gras, il est plus que temps de vous affoler.
909 note(s)
Paul Pairet
Juste pour sa tronche quand Sarah lui a dit qu’elle allait cuisiner des insectes.
945 note(s)
Christian Le Squer
Quand on est chef trois étoiles, on ne se laisse pas enfumer par un petit malin lèche-cul qui connaît vos origines bretonnes et qui vous envoie une galette servie sur un support en forme de bateau. En revanche, on peut se laisser avoir par un bout de brioche industrielle émiettée censée remplacer la pâte d’une tarte au citron revisitée.
773 note(s)
Mauro Colagreco
Très jolie prestation de Mauro, qui a réussi à garder son sang-froid alors que la moitié des candidats lui a servi un plat « marée noire » pompé sur celui qu’il sert dans son resto.
824 note(s)
Stéphane Rotenberg
Il faut avoir les genoux solides pour lancer une épreuve centrée sur le thème de l’écologie juste après une autre où on a demandé aux candidats de sacrifier des tonnes de bouffe pour réaliser trois bouchées. Pas de quoi inquiéter Stéphane, qui réussit le grand écart sans trembler.
768 note(s)
Barbara Pompili
Complètement dégoûtée de ne pas avoir eu le temps de tester le petit resto que Gabriel Attal lui avait conseillé au Palais Vivienne, la ministre de la Transition écologique s’est rabattue sur M6 pour pouvoir s’empiffrer, elle aussi, de plats gastronomiques en plein confinement. Tout ça sous les yeux de Français hagards. On attend avec impatience la visite de Bruce Toussaint et PPDA la semaine prochaine…
792 note(s)
Le décompte de chaud patate
L’expression la plus insupportable de l’émission ne s’est pas fait attendre et a surgi dès la première épreuve dans la bouche de Pierre, concentré sur sa réinterprétation de la galette bretonne. Le même Pierre a récidivé en Dernière Chance, avec un audacieux « Chou patate » qui ne dupe personne.
472 note(s)
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Par Julien Mahieu
