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Un Bordeaux-Évian pas plein !
Depuis que le Stade de France a remplacé le Parc des Princes pour accueillir les finales des coupes nationales, l’enceinte dionysienne a toujours fait le plein de spectateurs. Ou presque. Ainsi, si en 2002 Lorient et Bastia n’avaient séduit « que » 66 000 spectateurs et des broutilles en Coupe de France (1-0), le pire des records risque fort d’être battu en 2013, pour l’édition qui oppose Bordeaux et Évian-T.G. Estimation : entre 50 000 et 55 000 personnes. Il faut dire que ça tombe un vendredi, jour de travail. Et ça, Francis Gillot, il le vit mal.
« C’est dommage que ce soit un vendredi. On ne peut rien y faire, indique le coach aquitain. Bon, jouer après les rugbymen (finale du Top 14 le samedi, ndlr) aurait été un peu spécial au niveau du terrain, mais c’est dommage, parce qu’une finale, peut-être qu’on ne va en vivre qu’une dans sa carrière… et ce ne sera pas plein, ajoute-t-il, limite dépité. C’est quand même un sentiment d’inachevé ! Après, on ne sait pas, mais peut-être aussi que dans les dernières minutes, des trains vont se libérer et que le stade sera plein… »
Oui, pour voir jouer Cheick Diabaté et Kévin Bérigaud, la SNCF peut bien faire un effort.
LB, à Bordeaux