Puyol se livre
De tous les joueurs du FC Barcelone, Carles Puyol, son capitaine, est sans doute le plus énigmatique.
Mystérieux, discret, voire complètement secret, il est rare de l’entendre dévoiler quelques “pépites”.
Pourtant, dans l’édition d’aujourd’hui du quotidien catalan Sport, il révèle sa passion pour le Tibet. « Sa culture et sa religion me plaisent beaucoup, j’ai beaucoup d’amis qui sont membres de la maison du Tibet de Barcelone » explique-t-il.
Il confie également son envie de se mettre à la méditation : « J’ai essayé de m’y mettre à plusieurs reprises mais c’est très difficile, je cherche ces moments de tranquillité, mais faire le vide, pour moi, c’est compliqué » .
Surnommé Tarzan, il assure ne pas être qu’un dur : « Certains souvenirs de ma vie me font pleurer » . La douleur, il la met de côté pour assouvir sa passion des tatouages : « J’en ai 5, tous situés sur des parties du corps que l’on peut cacher. La dernière fois, j’en ai fait faire 3 en un seul jour et la prochaine fois, j’en ferai au moins autant. Ceux que j’ai représentent des symboles polynésiens et tibétains » .
Pas qu’un dur, non, pas un cérébral, non plus. Question business, il n’oublie rien, il lancera dans les prochains jours sa marque de montres, CP5, et est la nouvelle icône Nike censé vendre des sous-vêtements pour la pratique sportive. Pour les besoins de la campagne, il est « bande dessinée » façon Sin City à la Frank Miller. Belle dégaine.
AG