Mourinho y va Franco
Le bonhomme, s’il en demeure pas moins une crapule pour ses adversaires, a au moins le mérite d’avoir brûlé sa langue de bois à la naissance. Car côté provocation, difficile de faire mieux. Morceaux choisis, au lendemain du match contre La Corogne, quand un journaliste l’interroge sur le jeu dur pratiqué par les portugais : » Il y a eu un seul vainqueur ce soir, et c’est sans aucun doute le camp des masseurs de La Corogne. Nous avions tout mis en œuvre pour faire céder le Deport avec des tacles agressifs, mais les adversaires devaient vraiment avoir les muscles chauds pour ne pas exploser face à nos pressions. J’espère que nous ferons mieux au match retour « . Au moins, c’est dit. Qu’on ne s’étonne pas après qu’Abramovic lui fasse les yeux doux, quand on voit l’équipe de chasseurs de prime qu’il dirige …