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Mathieu Valbuena : « La D2 grecque, c'est très difficile »
 
    Combien de carrières aura Mathieu Valbuena ?
Incapable de raccrocher les crampons malgré ses 41 berges, l’ex-international français a signé cet été dans l’équipe… réserve de l’Olympiakós, club dont il avait déjà porté les couleurs pendant quatre ans. Ce jeudi dans les colonnes de L’Équipe, « Petit vélo » raconte ce retour et sa nouvelle vie en deuxième division grecque.
« Je prends un plaisir monstrueux »
« C’est grâce à José (Anigo, aujourd’hui directeur sportif du club), commence-t-il. Il est le facteur X de ma carrière. […] Il m’a fait venir ici la première fois à 35 ans et j’ai joué la C1 à 35-36 ans. Je sortais de Fenerbahçe et je suis venu en reculant. J’imaginais une vieille ville et je suis tombé sous le charme. J’aime les gens, la culture. Et quand José m’a rappelé pour la réserve, je n’ai pas hésité. Se retrouver 20 ans après, c’est magique. Et je prends un plaisir monstrueux. […] Des fois, je suis un peu fatigué mais c’est une bonne fatigue. […] Certains matins sont plus compliqués, il y a les douleurs musculaires, les genoux, les chevilles… Mais un échauffement, un bon petit massage avant l’entraînement et ça passe. J’ai toujours la motivation. Tout est une question de mental. Et pourtant, je peux dire que la D2 grecque, c’est très difficile. Toutes les équipes veulent se sauver et ça met des coups. »
Il a pardonné les supporters marseillais
« L’amour que j’avais pour Marseille, je l’ai pour l’Olympiakós», ose-t-il même, tout en rappelant que son coeur est resté dans la cité phocéenne, et que l’épisode du 20 septembre 2015 – il avait vécu l’enfer pour son retour au Vélodrome sous le maillot de l’OL – est oublié : « C’est fini tout ça ! J’ai même été voir certains groupes de supporters dans leurs locaux. Et si tu me demandes mon club de coeur, c’est Marseille. Ces fans m’ont tout donné. Ce sont eux qui m’ont fait devenir le mec parfois un peu insolent, un peu caractériel, le mec insouciant. L’OM, c’est un club mythique, un club qui a une histoire, un club où il est dur d’y signer, d’y durer et d’y faire 331 matches. »
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