Buts : Álvarez (12e) et Giménez (90e+3) pour les Colchoneros // Zieliński (54e) pour les Nerazzurri
La spéciale Atlético.
Malmené pendant une grande partie de sa rencontre face à l’Inter Milan, l’Atlético est parvenu à arracher les trois points grâce à un but dans le temps additionnel ce mercredi soir (2-1). Le début de la rencontre est en faveur des Nerazzurri, mais les Colchoneros réalisent une première filouterie en marquant contre le cours du jeu. Giuliano Simeone déborde côté gauche avant de centrer fort en direction du but et d’Alex Baena. Ce dernier tente sa chance, mais le cuir rebondit sur Hakan Çalhanoğlu et retombe dans les pieds du redoutable Julián Álvarez, qui n’a plus qu’à pousser le cuir au fond des filets (1-0, 12e). Malgré ce pion, les hommes de Cristian Chivu n’abdiquent pas et Federico Dimarco, profitant d’une remise dans l’axe de Bisseck, passe à quelques centimètres de remettre les deux équipes à égalité en frôlant la lucarne avec une frappe enroulée (43e).
Un nouveau braquage
Au retour des vestiaires, Nicolò Barella trouve la barre (46e) avant que Dimarco, toujours lui, ne bute sur Juan Musso, auteur d’une magnifique sortie (50e). Mais la patience paie et à force de pousser, les Italiens parviennent enfin à égaliser. Lancé en profondeur par Ange-Yoan Bonny, Piotr Zieliński trompe Musso d’un beau plat du pied (1-1, 54e). L’Atlético n’a pas dit son dernier mot : alors que l’on se dirige logiquement vers un match nul, les Colchoneros vont sortir leur botte secrète : sur un corner soyeux d’Antoine Griezmann, le capitaine José Giménez surgit et marque d’une tête puissante (2-1, 90e+3). L’Atlético, 12e, l’emporte au buzzer face à l’Inter, invaincue jusqu’alors en C1, et se relance dans la course au top 8.
Les grands récits de Society: Les multiples visages de Corinne Berthier
Les grands récits de Society: Les multiples visages de Corinne Berthier
Ces 40 dernières années, sa photo a été utilisée pour représenter la France, son nom pour usurper des identités et détourner des millions d’euros, sans que personne ne sache vraiment qui était Corinne Berthier, ou même si elle avait jamais existé. Jusqu’à cette enquête.