Gignac aux Prud’hommes
Cela fait un moment qu’André-Pierre Gignac n’a plus fait parler de lui sur les terrains, il fallait bien trouver un truc. On était un peu passés à côté, mais l’attaquant toulousain comparaissait lundi 15 mars aux Prud’hommes, attaqué par sa femme de ménage pour « licenciement sans cause réelle » et « travail dissimulé » .
D’après LibéToulouse, l’avocat de Gignac aurait proposé une conciliation à la partie plaignante. Entre novembre 2008 et aout 2009, Faisa aurait été employée au black (un salaire tous les 15 jours, entre 210 et 900 euros selon les heures de taf, augmentant d’après elle « après les soirs de match » ) et forcée à bosser en « blouse blanche » et « sabots blancs » …
L’avocat de la plaignante ayant refusé la conciliation, reprochant au passage à Gignac (absent de l’audience) de vouloir « acheter la misère » .
TP