Frei comme un gardon
L’Euro, Alexander Frei y croit.
Après tout c’est chez lui, alors il n’y a pas de raisons pour que ça se passe mal : « J’ai toujours cru au potentiel de l’équipe de Suisse. Elle s’est étoffée avec l’avènement d’un Inler ou d’un Fernandes. Je ne sais pas si elle est plus forte que celle de 2006. Elle est en tout cas plus jeune et je crois qu’elle est capable de tenir la distance dans un tournoi » .
On va devoir faire le sale boulot.
Alexander, ta charnière centrale ça sera Senderos-Müller. Désolé.
RC