Ethique et fric
La FIFA a annoncé qu’elle n’allait plus accepter les cumuls de poste de ses dirigeants. La première victime de cette décision n’est autre que le président de la Concacaf, le trinitéen Jack Warner. Le dirigeant sud américain, gérant d’un organisme qui s’occupe de la revente des billets pour le mondial allemand, fait l’objet d’une une enquête ouverte par la commission d’éthique de la FIFA, sur les possibles conflits d’intérêts que pourrait générer une telle activité. Il faudra maintenant qu’il choisse entre la déontologie et l’argent. Un choix cruel et difficile.
JPS