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Aurélien Tchouaméni donne sa définition d’un bon capitaine des Bleus
Le biceps le plus convoité de France.
En marge de la rencontre face à Israël pour la 3e journée de la Ligue des nations ce jeudi soir (20h45), Aurélien Tchouaméni s’est présenté face aux journalistes pour la traditionnelle conférence de presse, à la veille d’une rencontre délocalisée à Budapest. Promu capitaine en l’absence de Kylian Mbappé, c’est avec « beaucoup d’honneur et de fierté » que le milieu de terrain dit endosser cette responsabilité, « le fruit d’une longue discussion » avec son sélectionneur Didier Deschamps.
Place à la nouvelle génération
Le joueur de 24 ans, à l’aise et souriant, est revenu longuement sur ce nouveau rôle. S’il estime qu’un bon capitaine « doit donner l’exemple sur le terrain comme en dehors et être à l’écoute de ses partenaires », Tchouaméni assure qu’il ne se prendra pas la tête à l’heure des grands discours dans le vestiaire, lui qui n’a pas attendu le brassard pour prendre la parole devant le groupe. De la même manière, le Madrilène insiste sur le fait que beaucoup d’autres leaders sont en mesure de causer, à l’image de Mike Maignan, qu’il assure n’être « absolument pas déçu de ne pas avoir été choisi comme capitaine ».
Interrogé sur la retraite internationale de l’habituel vice-capitaine Antoine Griezmann, Tchouaméni s’est dit « surpris comme tout le monde », mais comprend le choix d’un « monument du football français ». Évoquant la retraite progressive de Lloris, Giroud et Varane, l’ancien Bordelais a encouragé la nouvelle génération, dont il fait partie, à « émerger, écrire sa propre histoire et gagner des titres pour rendre le pays fier ».
La Ligue des nations, ça compte ?
FG