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Lucho González, Platini, Bob Marley 1977… Découvrez la nouvelle collection de photos So Foot de novembre
En collaboration avec l’agence photographique Icon Sport, So Foot vous propose, chaque mois, une sélection renouvelée de photographies exclusives de football en édition ultra limitée, onze tirages par taille, sur la boutique maison boutique.so.
#1 – Vavá fête son but de la victoire, Mondial 1962
Santiago, 17 juin 1962. Le Chili, pays hôte, retient son souffle : le Brésil affronte la Tchécoslovaquie en finale de la Coupe du monde. Sous le soleil austral, la Seleção joue pour confirmer sa suprématie. Sans Pelé, blessé plus tôt dans le tournoi, c’est Vavá qui endosse le rôle du sauveur. 77e. Le Brésil mène 2-1. 78e. Une frappe, un filet qui tremble, et Vavá qui s’élève dans les airs, les poings serrés, comme s’il voulait toucher le ciel. La photo saisit l’instant exact où la joie devient légende. Tout autour, la foule se lève, comme une vague humaine submergée par l’émotion. Sur la pelouse, les coéquipiers accourent, incrédules, tandis qu’en arrière-plan, les visages se confondent dans un océan de ferveur. Ce n’est plus seulement un but, celui du 3-1 : c’est la consécration d’un peuple, d’un style, d’une philosophie du jeu. En 1962, le Brésil conserve sa couronne mondiale. Et dans la mémoire collective, cette image de Vavá suspendu dans les airs devient le symbole d’une équipe intouchable, joyeuse et conquérante – celle qui a donné au football ses plus belles émotions.

#2 – Portrait de Michel Platini, Turin 1983
Turin, 17 août 1983. Le Stadio Comunale est prêt pour le match des siens, sous le soleil d’été. Sur la pelouse, Michel Platini, arrivé un an plus tôt et déjà champion, ajuste son maillot noir et blanc. Le regard fixe, presque fatigué, il semble ailleurs – déjà en train de rejouer mentalement la partition qu’il s’apprête à diriger. Cette photo, capturée au cœur des années 1980, fige un instant d’intensité brute. Derrière lui, les fumigènes embrument les tribunes, les chants montent, et la ville tout entière vibre au rythme du football. Mais lui ne voit rien de tout ça. Il pense au jeu, au ballon, à ce qui va suivre.

#3 – Lucho González au Vélodrome, 2010
Marseille, 13 novembre 2010. Le Vélodrome s’embrase sous les projecteurs d’une froide soirée d’automne. Face à Lens, l’OM joue serré, mais un homme, au milieu du tumulte, semble flotter au-dessus du jeu : Lucho González. Le port altier, le regard concentré, la foulée élégante. « El Comandante » dicte le tempo, accélère, temporise, orchestre. Rien ne semble le troubler – ni la pression du score, ni les cris venus des virages. C’est un maestro à l’œuvre, un chef d’orchestre en crampons. Un milieu capable d’enchanter un match par la simplicité, d’imposer son style sans éclat tapageur. Cette victoire étriquée (1-0) portera encore la trace de sa patte.

#4 – Bob Marley joue au foot en tournée, Bruxelles 1977
Sous le soleil de…Bruxelles, Bob Marley troque un instant sa guitare pour un ballon. Lors de la tournée européenne d’Exodus de 1977, le roi du reggae, en jean pattes d’eph et veste kaki, jongle avant son concert. Sur cette photo, la musique et le football ne font qu’un. Pour Marley, le foot était une autre manière de célébrer la liberté, la fraternité et le mouvement. « Le football est tout un monde, tout un univers à part entière. Un monde entier. Le football est tout un art. Le football est la liberté », disait-il. Alors souvent, entre deux concerts, il jouait avec ses musiciens des Wailers et retrouvait dans le ballon la même énergie pure, la même joie simple. Celle d’un homme qui, où qu’il soit, n’a jamais cessé de jouer.

ÉVÈNEMENT :
Notre boutique éphémère de Noël revient en décembre !
Après le succès des deux premières éditions et plus de 4 000 visiteurs l’an dernier, on s’associe de nouveau avec So Foot et les potos de TrashTalk pour vous proposer l’endroit idéal où préparer Noël et trouver l’inspi pour faire vos cadeaux de dernière minute.

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Par Maxime MARCHON





























