Les notes du Tour de France 2025

Tadej Pogačar

Tadej a pris le menu en 21 temps et n’en a pas laissé une miette. Forcément, quand on est un tel glouton, il est légitime d’avoir une petite fatigue post-prandiale au moment des interviews, mais on risque de revoir à table le cannibale des temps modernes pendant un bon paquet d’étés.

Jonas Vingegaard

Le Danois s’est découvert un peu de panache sur ce Tour. Il repart frustré, sans victoire d’étape, et avec des cauchemars de la roue arrière de Pogi pour les trois prochaines semaines. Il devrait la retrouver dans quelques semaines, à la Vuelta. Vous avez dit maso ?

Florian Lipowitz

Champion national de biathlon à 16 ans et podium sur le Tour de France huit ans plus tard. On appelle ça l’embarras du choix… Il a eu la bienséance de ne pas se mettre au foot juste pour ne pas faire de l’ombre à son quasi homonyme Florian Wirtz.

Kévin Vauquelin

Il est là, le seul espoir de ne pas passer sous la barre des 100 nouveaux nés appelés Kevin pour la première fois depuis 1973.

Jonas Abrahamsen

Du panache, de la folie et une victoire bien méritée : il n’y a pas à dire, prendre 20 kilos a fonctionné. Dans son pays, on appelle ça un régime Haaland.

Roel van Sintmaartensdijk

Parce que comment ne pas apprécier un coureur au nom imprononçable ? Sur France TV, Alexandre Pasteur a fini par l’avoir, dès la deuxième semaine ; sur Eurosport Steve Chainel, lui, essaye toujours. C’est comme la bascule, ça s’apprend.

Stéphane "the Line-keeper" Boury

Toulouse a encore gagné le Top 14 cette année, et pourtant, le meilleur plaqueur de la ville ne se trouvait même pas à Ernest-Wallon.

Un militant pro-palestinien a perturbé l’arrivée du Tour de France hier à Toulouse.

Stéphane Boury le responsable des sites d'arrivée sur le Tour de France lui a fait un beau plaquage à la toulousaine.
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— Officiers et Commissaires de police (@PoliceSCSI) July 17, 2025

Lenny Martinez

On a pas compris : quand vous dites « le bidon collé », vous parlez bien de ce mec en maillot à pois qui n’avance plus après le deuxième col ?

Quinn Simmons

Un énorme mulet, une moustache hommage à Hulk Hogan, des coucous à la caméras et une demande de mariage sur les Champs : les coureurs savent désormais ce qu’il faut faire pour devenir le chouchou du public. Et ça marche même quand on est un des plus grands fans de Donald Trump…

Le camping-car de Michael Woods

Parce qu’à force de bouffer comme des sagouins, les cyclistes peuvent aussi avoir des problèmes intestinaux. Le Canadien peut en témoigner : « Au pauvre homme, très gentil et abasourdi, qui m’a ouvert la porte de son camping-car, je tiens d’abord à vous remercier, mais aussi à m’excuser abondamment pour l’état dans lequel j’ai laissé votre salle de bain. » C’est une manière comme une autre de laisser sa trace dans l’histoire.

Jonathan Milan

Ah bah ça, depuis une certaine finale au printemps, on est bien vert à Milan.

Valentin Paret-Peintre

Il a non seulement remporté la seule victoire française au sommet d’un col mythique, mais il a surtout réussi à faire taire tous ceux qui criaient déjà au tour flopesque. Félicitations monsieur Peintre, c’est un chef-d’œuvre.

Patrick, l'effaceur de zizis

Encore un clean sheet cette année pour Patrick… On nous signale à l’oreillette que Montpellier s’est positionné dessus.

Team Cofidis

Si si, ils étaient là. On vous jure.

Julian Alaphilippe

À défaut de faire carton plein, il a fait le plein de carton.

La rencontre entre la supportrice de Wout Van Aert avec Wout et Julian Alaphilippe qui lui a arraché un bout de carton s'est donc bel et bien produite #TDF2025 pic.twitter.com/S4LKqgD7dh

— Cycling Legend (@CyclingLegend_) July 20, 2025

Wout van Aert

On a bien cru que sa belle histoire sur le Tour allait prendre fin cette année. Entre des loupés dans les échappées et un savoir-faire impressionnant pour sortir à contretemps, le grand Belge a fini par l’avoir, son succès, et pas n’importe lequel.

Mathieu van der Poel est en train d’écrire.