S’abonner au mag
  • C1
  • Demies
  • Liverpool-Roma (5-2)

Les notes de la Roma

Par Kevin Charnay
2 minutes
Les notes de la Roma

À cause d'une prestation globale pleine de trous d'air livrée à Anfield, la Roma a sombré. Mais grâce à un Džeko sorti de nulle part, elle peut encore y croire.

AS Roma

Alisson (5) : Il n’a rien à se reprocher, mais il repart quand même avec cinq buts dans la tronche. L’erreur judiciaire dans toute sa splendeur.

Fazio (5) : Encore une fois, le Roi Lion a dû se farcir Timon et Pumba, aka Manolas et Jésus, pour défendre les siens. Pas facile tous les jours.

Manolas (2,5) : Heureusement qu’en ce moment, quelque part en France, il y a un Kostas qui représente fièrement son prénom.

Jésus (2,5) : Faire revivre un chemin de croix aussi terrible à un Jésus, on appelle ça de la persécution. Remplacé par Perotti à la 67e minute, qui a inscrit un véritable petit bijou sur penalty. De l’art à ce stade.

Florenzi (4,5) : À force de jouer à tous les postes dans cette Roma, il a pris l’habitude de se trimbaler un peu partout sur le terrain pendant un match. Ce soir, il y avait plus de mauvais que de bons côtés.

De Rossi (3,5) : En l’absence de Totti, c’est à lui d’endosser le rôle du vieux briscard qui n’a connu que la Roma. Mais il vire au papy gâteux bien plus vite que son aîné. Tatie Daniele. Remplacé à la 67e par Gonalons, comme un aveu d’abandon.

Strootman (3) : Si l’on utilise bien ce bon vieux Google Traduction, on pourrait en déduire que Strootman signifie « l’homme qui effleure » dans la langue de Shakespeare. Ce soir, les Anglais de Liverpool peuvent le confirmer, tant il ne fait de mal à personne.

Kolarov (5) : De l’engagement, des grandes enjambées pas si rapides, des longs tacles, et des grandes frappes de mule. C’est important des joueurs dont on sait à quoi s’attendre. Les bonnes vieilles habitudes sont toujours rassurantes.

Ünder (3) : Complètement écrasé par le jeu, il semblait manquer d’oxygène, à deux doigts de la crise de claustrophobie. Ünder the dome. Remplacé par Schick (5) à la mi-temps, qui est venu faire son bon gros bout de match, sans se plaindre. Un Schick type, réellement.

Nainggolan (5,5) : Dans l’entrejeu, on aurait dit un petit mec tout nerveux qui se bat, se débat de toutes ses forces pour lutter contre un rouleau-compresseur. Sans jamais lâcher. Radja against the Machine.

Džeko (6) : Pendant 80 minutes, il a vécu l’Enfer avant de pouvoir finalement retrouver son Paradis. Et s’installer dans le jardin d’Edin.
Les notes de Liverpool
Arne Slot emballé par la progression de Hugo Ekitiké

Par Kevin Charnay

À lire aussi
Les grands récits de Society: Les disparus de Boutiers
  • Enquête
Les grands récits de Society: Les disparus de Boutiers

Les grands récits de Society: Les disparus de Boutiers

Une famille sort réveillonner et ne rentre jamais chez elle. C’était il y a 50 ans, et personne n’a jamais retrouvé la moindre trace ni le moindre indice sur ce qui est aujourd’hui la plus vieille affaire du pôle cold cases de Nanterre. On refait l’enquête.

Les grands récits de Society: Les disparus de Boutiers
Articles en tendances

Votre avis sur cet article

Les avis de nos lecteurs:

C'est une putain de bonne question !

Safonov doit-il devenir le gardien titulaire du PSG devant Chevalier ?

Oui
Non
Fin Dans 22h
100
74

Nos partenaires

  • Vietnam: le label d'H-BURNS, Phararon de Winter, 51 Black Super, Kakkmaddafakka...
  • #Trashtalk: les vrais coulisses de la NBA.
  • Maillots, équipement, lifestyle - Degaine.
  • Magazine trimestriel de Mode, Culture et Société pour les vrais parents sur les vrais enfants.
  • La revue de presse foot des différents médias, radio et presse française/européenne, du lundi au vendredi en 3 à 4h!