- Publi-rédactionnel
Tu sais que tu préfères jouer à 7 quand…
Tu trouves le foot à onze trop fatigant et tu ne veux pas succomber à la mode du foot à cinq. À l’occasion des échéances majeures de l’équipe de France de Rugby à 7, sofoot.com s’est demandé pourquoi le 7 était le nombre magique en sport collectif, principalement foot et rugby. En partenariat avec paramourdurugby.com, tu sais que tu préfères jouer à sept quand...
… lorsque tu fais un five et que tu perds tous tes ballons, tu dis : « Je suis bien meilleur à sept ! J’ai plus d’espace, je peux prendre mon temps. » Alors que non.
… tu n’as absolument pas la condition physique pour jouer à onze ou à quinze. Au foot à 7 non plus, à vrai dire. Alors, au rugby 7, on en parle même pas…
… au contraire, si tu es rugbyman, tu es content de pouvoir courir plus de cinq secondes sans te faire obligatoirement rattraper par la patrouille. Pas parce que tu cours vite, mais parce qu’il y a de la place !
… tu soupçonnes Galactik Football d’avoir maté les vidéos de tes matchs pour leur système de scores.
… tu adores mettre des coups de pied dans des blocs de granit. Et ce que tu as trouvé de mieux comme substitut, c’est les ballons taille 7. Après le ballon de rugby, évidemment.
… tu es aussi souvent hors-jeu que Bafé Gomis et Clinton Njie réunis.
… ta série préférée, c’est Sept à la Maison. Jessica Biel, alias Mary Camden, à jamais dans ton cœur.
… d’ailleurs, tu préfères parler du « septième art » que du cinéma. Au passage, Mercenaire, très bon film.
… tu es toujours aussi seul en défense, sauf qu’au lieu de t’en prendre aux trois de devant, tu t’en prends désormais trop souvent sur les cinq. Alors qu’au rugby à 7, tout le monde attaque et tout le monde défend, pour de vrai.
… et sur les contre-attaques, les joueurs en face paniquent tellement ils sont nombreux.
… tu te définis comme un joueur polyvalent. Comprendre : tu ne maîtrises aucun poste.
… tu peux passer vingt minutes à admirer des longs ballons passer au-dessus de ta tête sans t’ennuyer.
… tu trouves que le nombre de colocataires de Blanche-Neige est particulièrement adapté à la vie en communauté.
… tu adores les « pizzas » . Aussi bien les comestibles que celles qui restent trois semaines sur ton genou après un tacle sur du synthétique.
… et pour la petite histoire, ta pizza préférée, c’est la 7 fromages.
… tu ne joues que sur demi-terrain. D’ailleurs, tes potes savent très bien que tu ne fais les choses qu’à moitié, que tu ne prends toujours qu’un demi-poulet au resto, et que ton actrice préférée c’est Demi Moore. Tu attends un peu pour leur montrer les posters de Demis Roussos au-dessus de ton lit.
… juste avant que l’adversaire joue le coup d’envoi, tu lui demandes si pour la touche, on se base sur les lignes jaunes ou les lignes blanches.
… s’il y a sept merveilles du monde, ce n’est pas pour rien. C’est pour désigner ton équipe de branquignoles.
… ton moment préféré, c’est les dix dernières minutes du match, quand le milieu de terrain se transforme en no-man’s land.
… dans la vie, tu ne mets jamais de tacle ni de tampon à personne. Question de respect.
… mai 68, Woodstock, Neil Armstrong, Brigitte Bardot et Ray Charles c’est bien sympa, mais les années 1960, c’est surtout le début de la mixité à l’école. Et on aime la mixité.
… pour toi le Five, c’est un film plutôt pas mal avec Pierre Niney.
… d’ailleurs, tu sais très bien que le plus grand chef-d’œuvre du septième art, c’est Seven.
… tu sais que celui qui siffle la fin du match, c’est le projecteur.
… tu as souvent la sensation que le terrain est plus large que long.
… on te conseille de garder tes affaires au bord du terrain, « parce qu’il n’est jamais rien arrivé, mais on sait jamais » .
… une roulette bien placée, ou une Chistera décisive peut clairement t’envoyer au septième ciel.
… tu aimes aussi le rugby, et tu trouves ça normal de chercher une bonne touche de temps en temps.
… tu es rugbyman, et tu as envie de participer aux JO une fois dans ta vie.
… bref, Tu as suivi l’équipe de France à 7 tout au long de la saison, et tu te prépares à la suivre en juillet à San Francisco sur paramourdurugby.com
Par Kévin Charnay et Théo Denmat