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« Ma première Predator… »
La Predator fait partie de ces chaussures mythiques qui ont marqué l'histoire du football. Un peu grâce à son design iconique, cette languette et ces coloris marquants, surtout pour ceux qui l'ont portée et qui ont écrit sa légende. Des joueurs et des joueuses qui ont inspiré toute une génération de gamins ayant grandi dans les années 1990-2000 à se chausser en Predator pour leurs matchs du dimanche après-midi avec les copains. Nos lecteurs se remémorent leurs premières amours avec LEUR Predator.
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Fabrice, 34 ans, gérant d’un centre LE FIVE à La Rochelle
« J’ai joué à un bon niveau jeune e, en 1998, quand la Predator Accelerator est sortie, je suis devenu complètement fou. Il fallait que j’achète cette paire. J’étais un fan absolu de Del Piero. J’ai demandé à mes parents de m’emmener chez « Technicien du sport » et j’ai dépensé 1 500 francs pour acheter le modèle blanc, avec les rayures noires. Je suis arrivé tout fier dans mon club, l’Iris Club de Lambersart, une espèce de réservoir du LOSC dans le Nord de la France. En 1999-2000, j’étais en U15 et, en U13, il y avait André Ayew. On était les deux seuls à avoir des Predator Accelerator dans tout le club : il avait le modèle rouge, moi le blanc. On s’est échangé plusieurs fois nos chaussures pour les matchs, puisque les U13 jouaient sur le terrain d’honneur avant les U15. Aujourd’hui, je continue d’acheter des paires alors que je ne joue plus. Juste pour les avoir. »
Maxence, 20 ans, milieu de terrain à l’Olympique lyonnais
« Je joue avec la Predator depuis toujours. C’est une paire qui m’a marqué quand j’étais petit, car je voyais des grands joueurs la porter comme Zidane ! Elle a aussi un design hors du commun. »
Vincent, 26 ans, gérant d’une société de design digital
« Je commence le foot en 1998 après la Coupe du monde, Zidane avait les Predator alors j’ai été au magasin avec mon père et j’ai dit : « Je veux celles de Zidane. » On me les sort, j’essaye, je pleure, je rentre à la maison avec les Predator aux pieds et je dors carrément avec. Depuis, je les ai conservées, elles sont dans l’armoire à souvenir, fièrement exposées chez mes parents. Par la suite, j’ai beaucoup changé de modèles, mais à l’époque, si tu voulais des chaussures en cuir, c’était vraiment le top. Ce qui faisait vraiment le style de cette chaussure, c’était ce design noir-blanc-rouge, et la languette ancestrale ! Avec l’arrivée des « chaussettes », j’ai décroché, c’est moins mon style, mais je suis passé à la Copa et les 20.4 me vont très bien. »
Julien, 26 ans, consultant en Social Media
« Zizou… Elles brillaient à ses pieds, avec leur touche dorée. J’étais gamin, obnubilé par mes idoles sur le petit écran. Mais c’est elles qui avaient toute mon attention. Predator. Un coloris dont je suis tombé amoureux le premier jour au point d’en faire des caprices à la maison. Hors de question de porter d’autres souliers, elles seront or, blanc et noir, ou rien. Mon père, jugeant la paire trop voyante, trop salissante, a tenté de calmer mes ardeurs. Des prises de tête pour une paire de chaussures de football. Assez improbable. À la reprise de l’entraînement, je les portais fièrement. Mon père m’en avait fait cadeau. Persuadé que je n’étais qu’un « petit con » qui voulait se faire remarquer avec ses chaussures dorées. Ce furent les dernières chaussures qu’il a pu m’offrir avant de partir. Je les ai portées jusqu’à épuisement. Jamais je n’ai trouvé d’équivalent. Après quelques années à chercher sur des sites de seconde main, j’ai mis la main sur une nouvelle paire de Predator de 2006. Elles sont un peu trop grandes, crampons en fer donc pas adaptées pour toute l’année. Tant pis, elles seront portées quitte à avoir des ampoules. C’est maladif, c’est un souvenir, une émotion, mes meilleurs crampons. En 2017, j’intègre les 3 bandes en stage, mon boss de l’époque a tout vu. Il m’offre une paire de « Ace 16+ », petite sœur de la Predator à l’époque. Le coloris : or, blanc et noir. Je ne joue presque plus au football, mais chaque coloris de la Predator qui s’orne de doré finit dans mon placard. »
Wendie, 30 ans, septuple championne d’Europe
« La Predator est la paire la plus adaptée à mon pied. Elle est tellement confortable que je ne la sens même pas. Et puis, son design est vraiment magnifique, c’est un vrai plaisir de la porter à chaque match ! »
Alexis, 24 ans, contrôleur de pièces aéronautiques
« Étant un fan fou de Juninho quand j’étais plus jeune, je voulais absolument la Predator blanc et doré. À tel point que j’avais forcé ma mère à l’acheter un mercredi après-midi alors que j’avais match amical le soir même. J’ai trouvé mon bonheur dans le magasin, mais seul souci : ils avaient seulement une pointure en dessous de la mienne, je rentrais dedans, mais c’était très serré. Tant pis, je la voulais absolument donc je l’ai prise. Le soir du match, très fier de les mettre aux pieds, je fais un bon match, puis à un moment, je reçois le ballon en dehors de leur surface, le ballon monte, je fais 3-4 jongles pour éliminer un défenseur, frappe enchaînée, but. J’étais persuadé que c’était grâce aux crampons ! (Rires.) À la fin du match j’avais un mal de pied pas possible, c’est le seul match qu’elles ont fait, mais je les ai gardées des années tellement elles étaient magnifiques. »
T., 35 ans, éducateur sportif avec des adultes en situation de handicap
« J’étais tombé amoureux de la génération euro 2000. À cette époque, je dois avoir 15 ans. Hors de question pour mes parents d’acheter la version haut de gamme de la paire, ils prennent l’entrée de gamme. On pouvait voir la différence notamment avec les 3 bandes de la languette, qui étaient d’une autre couleur. Je m’amusais à peindre les 3 bandes en blanc pour faire croire que c’était les « vraies » paires et ne pas passer pour un con. (Rires.) »
Le collectif footpack, amoureux de souliers de football
« Le premier souvenir avec la Predator, c’est forcément 1998 et Zinédine Zidane. Dans l’histoire des crampons, il y a des moments charnières, et la finale de 1998 est clairement celui de la gamme Predator. Le moment, le joueur, le modèle, toutes les planètes semblaient alignées pour que l’Accelerator rayonne ce jour-là. Vingt-cinq ans après, elle est toujours aussi iconique et ce n’est bien sûr pas anodin que Zinédine Zidane soit toujours chaussé par adidas et que la Predator Accelerator soit la paire la plus rééditée de la gamme. Une légende. Depuis, la Predator a évolué avec son temps en conservant une aura assez incroyable. Quand on pense à la Mania, on voit Beckham tirer des coups francs. Quand on pense à l’Absolute, on pense au dernier match de la carrière de Zizou. Tout ça, ce sont des bouts de l’histoire de ce modèle qui sont à jamais ancrés dans l’histoire du foot. »
Abda, journaliste pour Quotidien, et analyste vidéo chez les U20/U23 de la Côte d’Ivoire
« C’était à l’époque où je jouais à Montargis, j’aspirais encore à une carrière de footballeur pro et j’allais souvent voir les matchs de l’AJ Auxerre, qui se situe à moins d’une heure de route. Outre la concurrence, j’avais des problèmes d’adducteurs et je jouais moins vers l’âge de 15-16 ans, donc pendant que mes potes jouaient, moi, je filmais les matchs, et je faisais l’analyse vidéo. J’avais tellement pris goût au truc que mon coach, qui connaissait bien certains joueurs, m’emmenait voir des matchs et des entraînements de l’AJA. Donc j’avais l’occasion de discuter foot, technique, tactique avec les joueurs pros. C’était déjà trop cool pour moi. On m’avait donné quelques maillots : Akalé, Kalou… Mais le graal, c’est un soir d’après-match où on discute avec Bonaventure dans sa voiture, et avant de partir, il donne un sac à mon coach. Et quand mon coach me dépose chez moi, il me dit : « N’oublie pas ton sac. » J’ouvre le sac et je découvre la paire de Predator. À l’époque pour moi, c’était une folie d’avoir cette Predator, mais celle qu’a portée Bonaventure Kalou ! Extraordinaire. Pour moi, à la base, la Predator, c’est la chaussure de Zidane ! Donc j’étais fan. Il était beau à voir jouer, et comme j’aimais tricoter, bah je me sentais beau en essayant de l’imiter. J’adorais faire la fameuse roulette… avec la deuxième touche mi-semelle mi-intérieur du pied. La classe ! J’ai dû abandonner la Predator de Kalou parce que j’ai les pieds qui ont grandi, mais j’ai gardé la technique. »
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Par la rédaction de So Foot