C’était lors d’une rencontre de Division One (2e division kenyane) entre Admiral et Sparki Youth. Son casseur de virilité : Daudi Kajembe, le coach de Sparki. Le technicien n’avait pas apprécié une décision de l’homme en noir qui était, semble-t-il, défavorable à ses joueurs. D’où le high kick mal placé. « Ça a été le moment le plus abominable de ma vie » , avouera plus tard le ref’.
Si l’entraîneur a été, dans la foulée, arrêté, sa victime elle ne voulait pas en rester là. Wekesa, qui avoue avoir été « affecté physiquement et mentalement » et « tourné en dérision dans sa ville » s’en prend aujourd’hui à la Fédération kenyane, et lui réclame près de 180 000 euros de dommage et intérêts.
La moindre des choses pour un homme qui « ne savourera plus les joies du devoir conjugal » . JL
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