Spoiler : 21 buts au compteur et des sueurs froides.
Conquérante, l’Espagne a fait vivre un cauchemar à la Turquie (0-6). Sans surprise, la Roja n’a pas mis longtemps à faire la différence. C’est d’abord Pedri qui permet aux siens de prendre les commandes de la partie dès la 6e minute d’une frappe sèche (0-1). Ce n’est que le début du cauchemar pour les Turcs. À la suite d’une action collective sublime, Mikel Merino termine le travail d’un plat du pied assuré (0-2). Juste avant la mi-temps, Merino, encore lui, profite d’un centre de Pedri pour tuer tout suspense en crucifiant Uğurcan Çakır (0-3). Pas rassasiés, les Espagnols profitent d’une contre-attaque éclair pour creuser encore l’écart par Ferran Torres (0-4), avant que Mikel Merino n’inscrive son premier triplé avec la Roja (0-5), grâce à une frappe enroulée magistrale, et que Pedri ne marque un doublé (0-6), bien aidé par le slalom de Mikel Oyarzabal. Rideau. Les hommes de Luis de la Fuente prennent seuls la tête du groupe E.
🇹🇷 - 🇪🇸
Mais quelle combinaison parfaite des Espagnols dans la surface, avec Mikel Merino à la conclusion !
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Dans le groupe A, l’Allemagne, battue par la Slovaquie lors de la première journée, a peiné à battre l’Irlande du Nord (3-1). Si Serge Gnabry a mis sa nation sur les bons rails (1-0), les Nord-Irlandais ont réagi avant la mi-temps par l’intermédiaire d’Isaac Price (1-1). Sifflés à la mi-temps – les Allemandsqui ne comptaient que deux tirs tentés seulement à l’heure de jeu – ont eu toutes les peines du monde à se montrer dangereux. Heureusement, l’entrant Nadiem Amiri a inscrit son premier but avec la sélection (2-1), avant que Florian Wirtz, tout sauf flamboyant dans cette partie, ne mette définitivement l’Allemagne à l’abri grâce à un coup franc sublime. Malgré ce succès, l’Allemagne ne pointe qu’à la troisième place puisque, dans le même temps, la Slovaquie a surpris le Luxembourg sur le fil grâce à une réalisation de Tomas Rigo dans la dernière minute du temps réglementaire (1-0).
🇧🇪 - 🇰🇿
Kevin De Bruyne trouve une superbe lucarne pour ouvrir le score !
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La Belgique écrase le Kazakhstan, la Pologne domine la Finlande
De son côté, la Belgique a concassé le Kazakhstan (6-0). Après avoir été empruntés lors de ce premier acte, les Diables rouges ont pu compter sur Kevin De Bruyne pour entrevoir la lumière. Trouvé par une talonnade astucieuse de Charles De Ketelaere, le milieu offensif ne se pose aucune question et lâche un caramel en lucarne gauche (1-0). Dans la foulée, Jérémy Doku fait le break avant la mi-temps. Servi par le précieux « KDB », l’ailier virevoltant a fixé son défenseur avant de tromper d’un plat du pied imparable (2-0). Au retour des vestiaires, Nicolas Raskin a participé au festival en poussant la reprise de Doku au fond des filets (3-0). La fête n’est pas terminée. Doku, dans une forme étincelante, parvient à percer la défense adverse avant de tromper de nouveau le portier kazakh (4-0). Mais il n’est pas le seul, puisque De Bruyne frappe encore et devient par la même occasion le deuxième meilleur buteur de l’histoire de la Belgique en dépassant Eden Hazard au tableau des buteurs des Diables rouges avec 34 réalisations (5-0). Thomas Meunier a terminé le travail, un poil aidé par un adversaire qui a contré sa tentative dans ses filets (6-0). Propre.
Enfin, la Pologne a dominé la Finlande (3-1). Matty Cash a montré la voie en ouvrant le score (1-0) avant que le meilleur buteur de l’histoire de la Pologne ne frappe à son tour grâce à un bel enchaînement contrôle poitrine et reprise de volée (2-0). L’avant-centre du FC Barcelone va se montrer de nouveau décisif sur le troisième but de sa nation avec son service pour Kaminski, dont le pion scelle l’issue de la rencontre (3-0). La réduction du score de Benjamin Kallman ne changera rien (3-1). Ce succès permet aux hommes de revenir à la hauteur des Pays-Bas, premiers du groupe G à la suite de leur victoire pénible face à la Lituanie.
Les grands récits de Society: Tout le monde en parle, l'histoire orale
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C’était une émission, c’est devenu un rendez-vous. Puis un objet de culte. Souvent drôle, parfois intelligente, toujours alcoolisée et volontiers vulgaire, Tout le monde en parle mêlait la désinvolture d’une petite soirée entre potes et le clinquant d’un dîner dans le grand monde. Voilà pourquoi personne ne l’a oubliée, même 20 ans après.