Alors, cette nuit blanche valait-elle le coup ? Pas sûr.
À l’instar de leurs futurs adversaires que sont l’Inter Miami et Al Ahly la nuit précédente, Palmeiras et Porto se sont séparés sur un 0-0 des familles pour leur entrée en lice dans la Coupe du monde des clubs. Le MetLife Stadium d’East Rutherford (dans le New Jersey) parsemé n’a pas eu grand-chose à se mettre sous la dent, si ce n’est le duel entre les deux attractions de 18 ans, Rodrigo Mora côté portugais et Estêvão côté brésilien, finalement décevant. Mais comme derrière beaucoup de 0-0, il y a souvent des grands gardiens. Ce fut le cas avec Claudio Ramos, auteur d’une impressionnante triple intervention pour sauver le FCP juste avant la pause, et avec Weverton, à la détente facile.
Pour voir des buts, il fallait donc traverser le pays et s’arrêter à Seattle, où les Sounders accueillaient le deuxième des quatre clubs brésiliens engagé dans ce tournoi, Botafogo. Vainqueur de la Libertadores et futur adversaire du PSG, les autres joueurs de John Textor ont fait la différence au cours du premier acte (2-1). Deux coups de casque heureux, un de Jair Cunha, l’autre d’Igor Jesus, respectivement sur des offrandes de l’ancien Mancunien Alex Telles et de Vitinho. Du haut de leurs 23 tentatives, les représentants de la ville de Kurt Cobain ont tout de même su répondre, également d’une tête, signée Cristian Roldan. À deux O et un petit mélange de lettres près d’avoir un quintuple Ballon d’or sur la pelouse…
Les grands récits de Society: Daft Punk, This Is the End
Les grands récits de Society: Daft Punk, This Is the End
L’annonce de leur séparation, en février, a stupéfait le monde entier. Depuis, le duo le plus mythique –et le plus secret– du xxie siècle ne s’est pas exprimé. Pourquoi avoir décidé de mettre un terme à l’épopée Daft Punk? Amis et compagnons de route livrent ici le récit secret de leur rupture, depuis le succès planétaire de l’album Random Access Memories jusqu’aux derniers jours.