Buts : Dufour (29e) pour le PFC // Le Sommer (1re et 40e), Hegerberg (38e et 48e), Däbritz (69e) et Diani (90e) pour l’OL
Le Sommer-Hegerberg, duo de luxe.
Dans le duel au sommet de la D1 Arkéma, l’OL a pu compter sur ses cadres pour dévorer une équipe du Paris FC totalement passée à côté du rendez-vous (1-6). Tout a commencé dès les premières secondes avec un enchaînement sombrero reprise de volée absolument délicieux signé Eugénie Le Sommer pour lancer les hostilités (1re, 0-1). En grande forme, Julie Dufour a remis son équipe à hauteur en s’y reprenant à deux reprises (1-1, 29e). Mais collectivement, l’OL était au-dessus et a tué le match en deux minutes grâce à Ada Hegerberg, bien servie par Kadidiatou Diani (1-2, 38e), puis grâce au deuxième pion de Le Sommer, décisive sur une frappe en première intention après une mauvaise relance adverse (1-3, 40e).
Ohhhh Eugénie Le Sommer !! Quel enchaînement ! 🔥
Sombrero + reprise de volée pour ouvrir le score après seulement 1 minute de jeu face au Paris FC 🤩#PFCOLpic.twitter.com/LkB7dGo1OJ
Un doublé qui permet à la Française de devenir meilleure buteuse du championnat au XXIe siècle, rien que ça, et qui en cache un autre : celui d’Hegerberg, encore épaulée par Diani, à l’origine d’un centre idéal (1-4, 48e). Rien ne s’est ensuite arrangé pour le PFC, qui a trouvé à plusieurs reprises les montants de Christiane Endler avant de céder à nouveau. Entrée en jeu un peu plus tôt, Sara Däbritz a marqué dans un but vide après un bon boulot de Vicki Becho (1-5, 69e), puis Diani y est aussi allée de son pion grâce à une tête sur corner en toute fin de rencontre (1-6, 90e). Un succès facile qui permet aux Lyonnaises de prendre seules la tête du championnat, laissant les Parisiennes à trois longueurs dans le rétroviseur.
Heureusement qu’il reste les féminines pour sauver l’institution OL.
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C’était une émission, c’est devenu un rendez-vous. Puis un objet de culte. Souvent drôle, parfois intelligente, toujours alcoolisée et volontiers vulgaire, Tout le monde en parle mêlait la désinvolture d’une petite soirée entre potes et le clinquant d’un dîner dans le grand monde. Voilà pourquoi personne ne l’a oubliée, même 20 ans après.