Luxembourg-Bosnie dans le texte
Luxembourg-Bosnie : guichets fermés, Luxembourg décimé, nouveaux coaches des deux côtés, Bosniaques pas là pour rigoler. De retour au bercail, Miralem Pjanic a annoncé la couleur dans le Quotidien du Luxembourg : « Sur le terrain, je vais me lâcher » .
Mais si deux punchlines balancées dans la presse luxembourgeoise devaient être retenues, à coup sûr, ce serait celles des deux entraîneurs. Côté local, Luc Holtz sait que cette entrée en matière pourrait tourner au cauchemar. Mais il préfère mettre en avant le fait que les Dzeko, Ibisevic, Misimovic and co ne sont pas des surhommes : « Même si vous êtes le meilleur joueur du monde, à partir du moment où vous n’avez plus d’espace, vous n’êtes plus personne » .
Le sélectionneur bosniaque Safet Susic a quant à lui pris soin d’observer le dernier match amical de son adversaire, qui après une mi-temps correcte (1-1) a fini par se faire rouer de coups au Pays de Galles (5-1) : « Je ne voulais pas montrer à mes joueurs la cassette du match du Grand-Duché contre le Pays de Galles. J’avais peur qu’en voyant la deuxième mi-temps, ils ne les prennent pas au sérieux… » .
MP