Luca Toni, le mal du pays
11 buts en 21 matchs, beaucoup d’attaquants s’en contenteraient. Mais voilà, quand on s’appelle Luca Toni, cela n’est pas assez. Du coup la presse cherche la petite bête.
Et l’Italien la montre sans plus tarder : « Je suis très bien à Munich. Mais quand même, ma famille me manque, l’Italie me manque, et surtout la pression de la Serie A me manque » .
Les bases d’un retour sont posées. Ne reste plus qu’à savoir où : « Milan a une très bonne équipe. J’étais proche d’eux il y a quelque temps, mais je ne vois pas pourquoi ils penseraient à moi maintenant » .
Réponse polie. Parce qu’avec les fantômes de Chevtchenko et Borriello, Milan a vraiment de quoi penser à Luca Toni.
RC