Après s’être jouée de la Norvège samedi, la Roja s’est fait piéger par l’Écosse au Hampden Park de Glasgow ce mardi soir (2-0). Dès le début de cette 2e journée du groupe A, les hommes de Luis de la Fuente ont compris qu’ils allaient passer une soirée compliquée. Après une perte de balle de Porro sur un pressing de Robertson, le latéral a servi sur un plateau McTominay qui ne s’est pas fait prier pour crucifier Kepa d’une frappe limpide (1-0, 6e). Quelques minutes plus tard, Christie a tenté d’aggraver le score en armant une lourde frappe après une percée plein axe (14e).
Joselu et McGinn sur la barre
La réponse espagnole ne s’est pas fait attendre. Sur un centre rentrant venu de la droite, Joselu a claqué un vrai coup de casque qui est venu s’écraser sur la barre transversale de Gunn (23e). Juste avant la mi-temps, le numéro 9 écossais Dykes, lancé dans la profondeur, a tenté d’inscrire le but du break, mais son lob sur Kepa a frôlé le montant espagnol (44e). Au retour des vestiaires, les hommes de Steve Clarke vont enfoncer le clou. À la suite d’un formidable travail de Tierney dans le couloir gauche, McTominay a hérité du cuir dans la surface espagnole avant de doubler la mise d’une reprise de volée puissante (2-0, 51e), son quatrième but lors de ces deux matchs de qualification ! Dans la foulée, l’Écosse aurait pu prendre le large si la barre transversale n’avait pas stoppé le coup franc rentrant de McGinn (57e). Pas dans leur match, les Espagnols n’ont jamais réussi à faire déjouer de valeureux Écossais, qui ont maîtrisé leur sujet de bout en bout. Grâce à ce succès de prestige, l’Écosse prend seule la tête du groupe A avec 3 points d’avance sur son adverse du soir, deuxième.
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Cyril Hanouna. On ne parle que de lui. Et rarement pour en dire du bien. Adoré par ses très nombreux fans mais détesté par le milieu, le héros de Touche pas à mon poste est devenu en quelques mois le parrain du PAF. Mais combien de temps cela durera-t-il? La question se pose. Et la réponse, pour beaucoup, est évidente.