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Dupraz, Moulin et Dall’Oglio fans de la règle des cinq changements
Hâte de les entendre quand ils craqueront à la 92e contre le PSG après l’entrée de Sarabia, Draxler, Bernat, Di María et Paredes.
Interrogés par Le Parisien, plusieurs entraîneurs français affichent leur enthousiasme quant à l’introduction de la règle des cinq changements. Pour Stéphane Moulin, cette règle permet aux entraîneurs d’avoir encore plus de poids. « Pour ma gestion d’équipe, c’est un atout que j’ai envie d’expérimenter, annonce l’entraîneur angevin. Mais j’aimerais savoir si on pourrait aussi aligner plus de 18 joueurs sur la feuille de match. » Même son de cloche chez Pascal Dupraz : « Pour moi, il n’y a que des gagnants : les coachs, qui ont plus de cartes en main. Les joueurs, qui prendront moins mal le fait d’être remplaçants au coup d’envoi. Et les spectateurs qui auront la garantie d’un jeu plus rapide. » À Brest, Olivier Dall’Oglio rejoint aussi ses collègues en appuyant sur le fait que cette règle sera utile pour les clubs européens qui jouent sur deux tableaux.
Déjà appliquée en Bundesliga, cette règle favorise les principaux clubs pour Josuha Guilavogui. Mais pour le capitaine de Wolfsburg, elle permet aussi aux joueurs « de se donner à fond, sans gérer ses efforts » et offre plus de possibilité de jouer pour des jeunes habitués à l’apprentissage depuis le banc. En France, Thomas Tuchel réclamait déjà l’instauration de six changements en décembre dernier afin de préserver ses joueurs.
Comme c’est étonnant.
Brest fait un bond au classement, Metz ne décolle pasQC




























