De l’arbitrage algérien
L’arbitrage algérien vit des heures noires. Agressé d’une baffe par un joueur de l’USMA nommé Bourahli, un homme en noir et en berne, un certain Boukedjar, s’est vu qualifier de « comédien » par la Ligue nationale de football.
Si la baffe a bien claqué, l’interprétation de la Ligue et de son président Ali Malek a été elle moins clinquante : « Le joueur reconnaît avoir eu un contact corporel avec l’arbitre, ce que la commission compétente a considéré comme étant une tentative d’agression » .
Résultat, cinq matchs de suspension pour Bourahli. C’est léger pour une tentative de viol.
JPS