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D’après les organisateurs du Mondial au Qatar, « la présence d’alcool ne créerait pas une expérience agréable pour de nombreux spectateurs »
![D’après les organisateurs du Mondial au Qatar, «<span style="font-size:50%"> </span>la présence d’alcool ne créerait pas une expérience agréable pour de nombreux spectateurs<span style="font-size:50%"> </span>»](https://www.sofoot.com/convert/aHR0cHM6Ly9zb2Zvb3QuczMuZXUtY2VudHJhbC0xLmFtYXpvbmF3cy5jb20vbGVnYWN5L0lNRy9zb2Zvb3RfYXJ0aWNsZXMvbG9nb181MjE2ODIuanBn/image/dapres-les-organisateurs-du-mondial-au-qatar-la-presence-dalcool-ne-creerait-pas-une-experience-agreable-pour-de-nombreux-spectateurs.jpg)
Dry november.
Ce vendredi, l’hôte qatari a fait volte-face concernant la vente et la consommation de boissons alcoolisées autour des stades, chose qui avait été consentie en septembre dernier, alors qu’elles ont toujours été interdites à l’intérieur de l’enceinte, hors loges. Une source proche du Comité suprême d’organisation a confié à Sky News que ce revirement est le fruit de « longues discussions » et que, selon cette même source, il peut s’expliquer par la crainte de voir se reproduire des débordements comme il a pu y en avoir « lors de l’Euro 2020 ».
Dans les hautes sphères qataries, ce qui prédominerait aujourd’hui est la volonté de « rendre les stades accessibles à tous ». En d’autres termes : « Cette Coupe du monde est différente des autres dans la mesure où un plus grand nombre de fans viennent du Moyen-Orient et d’Asie du Sud, où l’alcool ne joue pas un rôle aussi important dans la culture. Pour beaucoup d’entre eux, la présence d’alcool ne créerait pas une expérience agréable. » En revanche – et sachant qu’il est également possible de commander une pinte de bière ou plus dans certains restaurants, bars ou hôtels -, l’alcool sera bien permis dans certaines fan zones, bien identifiée. « Les fans peuvent décider où ils veulent aller sans se sentir mal à l’aise. Dans les stades, ce n’était pas le cas », explique-t-on.
Vivement le match entre les sobres et les soiffards.
MR, à Doha