Blanc et la fièvre
A l’heure où grippes et contagions envahissent la planète, Laurent Blanc rassure : la santé des siens est bonne.
Ainsi, avant d’affronter Valenciennes, le coach prévient toute forme de “fièvre” sportive que pourrait contracter son groupe, à quatre journées de la fin.
« La fièvre bordelaise n’a rien à voir avec d’autres fièvres… Et d’ailleurs, quand on a la fièvre, c’est que l’on est malade. Et à Bordeaux, on n’a pas de fièvre, a-t-il déclaré, allusion faite à un contexte marseillais bien plus agité que celui du Haillan. Ici, on a un environnement qui est réservé, et qui nous permet d’être à l’abri d’une certaine effervescence. Il y a de la pression, mais pas celle qui pourrait nous faire sortir de notre objectif. Et il y en a un peu moins qu’ailleurs… Il y a de l’excitation et de l’engouement, ce qui est normal vu que l’on occupe une place intéressante au classement, mais cela ne doit pas provoquer d’indisposition particulière. Il faut l’assumer, sans en avoir peur. L’environnement nous rappelle la situation, mais les joueurs ont réussi à s’en évader un peu, pour revenir bien concentrés sur ce qu »il reste à faire » .
A savoir, ne pas attraper le virus de la défaite à Nungesser.