Un Mou seigneur amer
Histoire d’ajouter une brique de plus à son égo, José Mourinho avait été approché par la Fédération portugaise de foot pour jouer le rôle du sélectionneur-dépanneur, après le licenciement de Queiroz.
Mais le Real ne s’est pas montré partageur, malgré une envie non dissimulée de la part de José de relever le challenge. « Pendant deux jours, j’ai senti et j’ai pensé comme un sélectionneur du Portugal. Et j’ai aimé ça » avoue le Mou sur le site internet de l’AFC (Association of Football Coaches). « Mais je dois admettre que le Real Madrid est une énorme institution, qui m’a acheté à l’Inter, qui me paie, et qui ne peut pas prendre de risques avec actionnaires. Rétrospectivement, c’est une décision facile à prendre, même si je suis toujours un petit amer de ne pas avoir pu aider la Seleccao » .
Avant le bouquet final : « Le Portugal a désormais un entraîneur et il devrait être reconnu par tout le monde comme « notre sélectionneur » et le « meilleur » » .
Paulo Bento est adoubé par José. Le Portugal peut dormir tranquille.
RB
Au Paris FC, l’important c’est de prendre son temps


























