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Pfister, démission en direct

Pfister, démission en direct

Otto Pfister n’est plus le sélectionneur du Cameroun. Et l’annonce de sa démission, à la veille d’un stage de préparation des Lions indomptables en Belgique, n’a rien de très surprenante. Depuis la défaite contre le Togo (1-0) le 28 mars dernier, en éliminatoires de la Coupe du Monde 2010, ce n’était plus l’amour fou entre Pfister et les instances du foot camerounais.

Après un rapport pas vraiment favorable à l’Allemand rédigé par le vieux Lion Roger Milla (précédé d’une grosse engueulade entre les deux hommes), trois entraineurs-adjoints lui avaient été imposés. « J’étais en Europe pour prendre des nouvelles de quelques uns de mes joueurs lorsque j’ai appris le licenciement de mon assistant, Gweha Ikouam Junior, ainsi que la nomination de trois nouvelles têtes au sein de mon staff, raconte-t-il au site Fifa.com. Comme cette décision avait été prise sans me consulter, j’ai décidé de démissionner. J’insiste pour louer le travail de M. Gweha, qui est le meilleur assistant avec lequel je n’ai jamais travaillé. »

Si on ajoute à cela les rumeurs de menaces sur sa famille, celui qui a emmené le Cameroun en finale de la dernière CAN avait sans doute des raisons d’en avoir marre. N’empêche, Pfister devient un spécialiste : en 2006, il avait démissionné de son poste de sélectionneur du Togo quelques jours avant le début de la Coupe du Monde pour un problème de versement des primes. Même scénario avant la même compétition en 1998, lorsqu’il avait claqué la porte de la sélection saoudienne pour protester contre l’ingérence des princes du pays.

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