Pour son premier match dans ce Mondial des clubs, Chelsea a su tenir son rang face au Los Angeles FC d’Olivier Giroud et de Hugo Lloris en l’emportant logiquement au Mercedes-Benz Stadium ce lundi soir (2-0). Largement dominateurs lors du premier acte, les hommes d’Enzo Maresca se sont d’abord cassé les dents sur un Hugo Lloris bien inspiré (5e, 18e) avant de trouver la faille. Alerté sur le côté gauche par Nicolas Jackson, Pedro Neto a magnifiquement crocheté Ryan Hollingshead avant d’ajuster l’ancien capitaine de l’équipe de France d’une frappe sèche (1-0, 34e). Clinique. En panne d’inspiration, les locaux n’ont fait que subir. Pour preuve, ils n’ont tiré qu’une seule fois lors du premier acte. Trop peu pour inquiéter les Blues, qui ont maîtrisé la rencontre sans trembler.
Si Olivier Giroud a fait son entrée à la mi-temps, c’est un autre entrant, David Martinez, qui est passé tout près de permettre aux siens de revenir à la hauteur de Chelsea, mais malheureusement sa tentative n’a pas accroché le cadre (50e). Bien plus entreprenante, l’équipe américaine a fait enfin trembler Robert Sánchez par l’intermédiaire de Bouanga, mais son tir a été repoussé du pied par le portier des Blues (56e). Alors que leur adversaire du soir commençait à pousser, les hommes d’Enzo Maresca sont enfin parvenus à se mettre à l’abri : sur un service de la recrue Liam Delap, Enzo Fernandez a contrôlé de la cuisse avant de battre Lloris d’un petit plat du pied (2-0, 79e). Rideau. En se permettant même de faire tourner une partie de son effectif, Chelsea réalise une belle entrée en matière dans cette Coupe du monde des clubs en battant sans trembler le LAFC. Avec ce succès, les Londoniens prennent provisoirement la tête du groupe D avant la rencontre entre Flamengo et l’Espérance de Tunis cette nuit.
Pas de problème, « Gigi » marquera face à l’Espérance de Tunis samedi.
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C’était une émission, c’est devenu un rendez-vous. Puis un objet de culte. Souvent drôle, parfois intelligente, toujours alcoolisée et volontiers vulgaire, Tout le monde en parle mêlait la désinvolture d’une petite soirée entre potes et le clinquant d’un dîner dans le grand monde. Voilà pourquoi personne ne l’a oubliée, même 20 ans après.