Liverpool a assumé son rang ce jeudi dans le « Mac Allisterico » contre l’Union saint-gilloise (2-0). Anthony Moris a longtemps tenu la baraque face à Mohamed Salah (5e), Ryan Gravenberch (10e) ou Darwin Núñez (36e). Les efforts des Reds ont néanmoins été récompensés lorsque le gardien a repoussé la frappe de Trent Alexander-Arnold dans les pieds de Gravenberch, qui ne s’est pas fait prier pour ouvrir son compteur (44e). Moris a repris son show en deuxième période, claquant la tête de Diogo Jota (52e) et le caramel de Gravenberch (61e), sans que ses coéquipiers ne parviennent à faire la diff’ à l’autre bout du terrain. Alors que l’USG poussait, Jota a même mis fin au suspense au bout d’un contre (90e+2). Parfait pour Toulouse, installé à la deuxième place de ce groupe E.
Le Bayer Leverkusen a lui aussi assuré à Molde (1-2). Le leader de la Bundesliga, sur un petit nuage depuis le début de la saison, a décroché sa huitième victoire en neuf matchs. Le bon pressing des joueurs de Xabi Alonso a permis de gratter un ballon plein axe aux vingt mètres, et Amine Adli a intelligemment décalé Jeremie Frimpong pour lancer les débats (14e). Le Bayer s’est ensuite mis à l’abri grâce au premier but de Nathan Tella (18e), de sorte à pouvoir gérer la suite.
En délicatesse en Serie A, la Roma profite de la C3 pour respirer : après Häcken, c’est le Servette qui est passé à la casserole (4-0). La Louve a encore pu compter sur Romelu Lukaku, auteur de son cinquième but en six matchs. Andrea Belotti a planté un nouveau coup de poignard à peine 30 secondes après la reprise (46e), puis s’est offert un doublé (59e). Lorenzo Pellegrini a également participé à la fête (52e). Insuffisant pour prendre la tête du groupe G néanmoins, puisque le Slavia Prague a découpé Tiraspol (6-0). Tous les terrains n’ont pas vu autant de spectacle. Giflé par Rennes il y a deux semaines, le Maccabi Haïfa a bien réagi face au Pana (0-0). Enfin, Juninho – Olávio Vieira dos Santos Júnior de son vrai nom – a libéré Qarabağ contre Häcken en bénéficiant d’une passe de Yassine Benzia (0-1).
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L’anesthésiste-réanimateur Frédéric Péchier a-t-il empoisonné 30 personnes et tué 12 d’entre elles, en se faisant passer pour un héros lorsqu’il les sauvait ou tentait de le faire? C’est ce que son procès, qui s’ouvre en septembre, devra permettre de juger. Ici sont racontés les événements, qui ont eu lieu à Besançon, dans le Doubs, entre 2008 et 2017, tels qu’ils se sont exactement passés.
