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Les Girondins épargnés par la DNCG, un club français exclu des compétitions nationales

Vous reprendrez bien un peu de Gérard Lopez ?
Après l’avis favorable du tribunal de commerce dans la matinée, les Girondins de Bordeaux ont passé l’épreuve de la Commission fédérale de contrôle des clubs de la DNCG sans trop de dégâts, s’en tirant avec un simple encadrement de la masse salariale, comme l’année dernière.
Même chose pour La Roche VF et Créteil en N2, pour Châteauroux en N1 (pour l’instant) ou encore pour Monaco, Albi Marssac ou Pays de Grasse dans le foot féminin.
Très lourde sanction pour Nîmes
En National 1, les bons élèves se nomment Orléans ou Boulogne-sur-Mer, qui ont vu leur budget accepté en l’état, quand Fleury, le Stade briochin et Le Puy Foot ont obtenu l’autorisation de montée avec un encadrement de la masse salariale.
Nîmes Olympique, comme Sedan il y a deux ans, disparaît des radars…Bordeaux reste en vie, on ne sait trop par quel tour de magie, mais bon…. pic.twitter.com/JOfqAShsNG
— Alexandre AUDABRAM (@AlAudabram) June 24, 2025
Le vrai coup dur, malheureusement attendu, est pour le Nîmes Olympique : le club gardois, plombé par la gestion de Rani Assaf, a vu son équipe première exclue des compétitions nationales, comme Sedan il y a deux ans. Nîmes devrait donc repartir au niveau régional.
Les larmes des Crocodiles n’auront rien de faux, cet été.
Coupe de France : Bordeaux poursuit sa route, Nîmes au tapisCG