Le dilemme rennais
Les clauses de contrat alambiquées pimentent toujours un peu plus les fins de saison, c’est bien connu. La situation de Rennes est un exemple parmi d’autres.
Le club breton ayant foiré la Coupe de France, son seul moyen d’être européen reste un bon classement en championnat. Avec sa victoire samedi, l’espoir est possible, Rennes pouvant même accrocher la quatrième place.
C’est là que les choses se compliquent. Une clause dans le contrat de Guy Lacombe stipule que l’entraîneur prolonge automatiquement d’une saison s’il figure dans le quatuor de tête. Une situation embarrassante quand on sait que Rennes n’attend que la fin du championnat pour installer Frédéric Antonetti sur son banc de touche.
Et on les voit mal cohabiter.