Buts : Morata (45e+3), Depay (67e) et Llorente (90e+8) pour l’Atlético // Samu (62e) pour Grenade
On tient déjà le but de l’année en Liga !
Bien supérieur à Grenade ce lundi, l’Atlético s’est logiquement imposé à la maison pour son premier match de Liga cette saison (3-1). Les Colchoneros prennent d’emblée le contrôle des opérations face à un bloc andalou très regroupé. Après une belle combinaison avec César Azpilicueta, Antoine Griezmann envoie un centre millimétré en direction d’Alvaro Morata qui bute sur André Ferreira, auteur d’un arrêt miraculeux (5e). Il faut alors attendre la fin de la première période pour voir les choses se décanter : le buteur de l’Atlético profite d’une grossière erreur de Jesús Vallejo pour tromper le portier adverse (1-0, 45e+3). Morata pense même s’offrir un doublé quelques secondes plus tard, avant de voir l’arbitre revenir à une position de hors-jeu précédente (45e+6).
Après la pause, Jan Oblak sort une parade réflexe sur une tête puissante de Samu (47e). C’est ensuite au tour de Memphis Depay, tout juste entré en jeu, de s’illustrer sur une frappe du droit passée à quelques centimètres du but des visiteurs (60e). Ceux-ci vont d’abord d’ailleurs surprendre le Cívitas Metropolitano sur un centre fort de Villar, bien coupé par l’intenable Samu (1-1, 62e). Une joie de courte durée pour les gars de Paco López, qui vont devoir s’incliner sur un missile téléguidé par Depay depuis l’extérieur de la surface pour, déjà, un des buts de la saison (2-1, 67e). La rentrée du Néerlandais aura finalement tout fait basculer et les huit minutes de temps additionnel en fin de partie n’y changeront rien pour Grenade. Pire encore : Llorente clôt le suspense d’une frappe entre les jambes de Ferreira (3-1, 90e+8).
Et si c’était l’année d’un grand Memphis Depay ?
Atlético (3-5-2) : Oblak – Azpilicueta, Savić, Hermoso – Llorente, Koke (Barrios, 7e), De Paul (Correa, 77e), Lemar (Söyüncü, 59e), Carrasco – Griezmann (Niguez, 77e), Morata (Depay, 58e). Entraîneur : Diego Simeone.
Elles étaient ensemble à La Belle Équipe, l'un des bars pris pour cible par les terroristes le 13 novembre 2015. Elles ont survécu. Sept ans plus tard, entre peur, culpabilité et solidarité, elles racontent comment elles se sont reconstruites.
