L’absence de la VAR, « de la discrimination » pour Irène Paredes

Plus mordante que Leandro.

Éliminé par l’Olympique lyonnais en demi-finales de la Ligue des champions, l’équipe féminine du PSG a une nouvelle fois vu ses rêves brisés par l’ogre rhodanien. Et l’arbitre du match Anastasia Pustovoitova en a pris pour son grade. La capitaine parisienne Irène Paredes n’a pas manqué de dire tout le mal qu’elle en pensait après le coup de sifflet final, tout en regrettant l’absence de la VAR à ce stade de la compétition.

« Je ne comprends pas pourquoi il n’y a pas la VAR en Ligue des champions féminine, explique-t-elle dans des propos rapportés par Marca. C’est de la discrimination, je le dis comme ça et je ne vais pas me cacher. Si nous voulons l’égalité, il faut que ce soit l’égalité. Si nous sommes les meilleures en Europe, nous avons besoin des meilleures arbitres féminines d’Europe, nous avons besoin de l’aide de la VAR et, pour le moment, nous ne l’avons pas. D’habitude, je ne dis rien sur l’arbitrage, mais c’est évident qu’il n’était pas au niveau. Il n’a rien fait de plus que de nous donner des cartons jaunes, ce qui te conditionne beaucoup.(…)C’est impossible de ne pas penser que l’arbitrage nous a porté préjudice. »

Quand on voit comment la VAR est utilisée chez les hommes, pas sûr que ça changerait grand-chose…