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Ennjimi : « Pour gérer Neymar, ça ne mange pas de pain d’apprendre du brésilien »

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Ennjimi : «<span style="font-size:50%">&nbsp;</span>Pour gérer Neymar, ça ne mange pas de pain d’apprendre du brésilien<span style="font-size:50%">&nbsp;</span>»

C’est en forgeant qu’on devient forgeron, et c’est en étant polyglotte qu’on devient arbitre.

Il faut savoir laisser quelques astuces à la relève. Avec près de 250 matchs de Ligue 1 et une cinquantaine de rencontres européennes, Saïd Ennjimi a du vécu et de l’expérience. Au point de connaître les joueurs et leurs réactions sur le bout des doigts.

« Vous savez pourquoi les joueurs s’énervent ? Parce qu’ils sont en difficulté technique ou physique. Les joueurs de football d’un gros calibre ne s’énervent pas, explique-t-il dans un entretien donné à Ouest-France. Pour pouvoir faire carrière dans ce milieu, il faut absolument que les arbitres aient cette réflexion en tête. Ce n’est pas de l’arbitrage, c’est de la gestion. On peut siffler un coup franc à droite, à gauche, mais le sujet, c’est plus de gérer le match. Des joueurs comme Neymar ou Marco Verratti, ça se gère. »

Le retraité du sifflet depuis 2017 va même plus loin : « Ça ne mange pas de pain d’apprendre quelques mots de brésilien ou d’italien pour essayer de détendre un peu l’atmosphère et de ramener le joueur au jeu. Ça fait aussi partie du boulot de l’arbitre. »

Laurent Paganelli à deux doigts de postuler.

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