- Euro 2020
Tu sais que t’as suivi le premier tour de l’Euro quand…
Après trois ans sans grande compétition, tu as croqué à pleines dents ces deux premières semaines de championnat d'Europe, pour des émotions diverses. Toi, tu sais que tu as suivi le premier tour de l'Euro quand...
… tu as fait la bringue à Budapest. Et ça n’était même pas pour un enterrement de vie de garçon.
… tu as observé la hype Sassuolo grimper un peu plus.
… et celle de Patrik Schick reprendre de plus belle.
… mais tu sais que le vrai but du premier tour est l’œuvre de Róbert Mak. Alors qu’il n’a même pas inscrit son nom au tableau d’affichage de ce Pologne-Slovaquie.
… tu as succombé aux charmes d’Alex Král et de Daniel O’Shaughnessy.
… tu es ravi de savoir qu’Aaron Ramsey et Gareth Bale sont toujours vivants.
… tu n’es pas Olivier Giroud.
… tu as vu la légende de Goran Pandev prendre une nouvelle dimension.
… tu es en fin de ventre mou dans tes ligues Mon Petit Prono. À moins que tu ne sois Jordan.
… tu t’es dit que le PSG avait signé un monstre avec Georginio Wijnaldum.
… tu es nul en géographie.
… tu t’es rendu compte qu’un arc-en-ciel pouvait faire plus polémique que des cris de singe dans un stade.
… et tu sais que le vrai MVP de cette phase de groupes est seulement apparu le 23 juin pendant l’hymne de la Hongrie.
… tu as bien kiffé Turquie-Italie et Autriche-Macédoine. Et tant pis pour les exploits de Novak Djokovic.
… tu es N’Golo Kanté et tu as déjà réalisé un marathon depuis le début de la compétition.
… tu t’es dit que tu avais peut-être craché trop tôt sur Frank de Boer.
… tu n’as pas voulu y croire le 12 juin devant ta télé. Et le miracle Christian Eriksen s’est produit.
… tu as vu l’Espagne démarrer son Euro à la troisième journée, pépère. Ça t’a rappelé un certain France-Togo.
… tu détestes ce format d’Euro à 24. Mais la Macédoine, c’était sympa !
… tu pensais que le « True Scotsman » qui ne porte rien sous son kilt, c’était une légende urbaine.
… tu sais maintenant très bien qui sont Kalvin Phillips et Alexander Isak. Pour ton plus grand bonheur.
… tu n’es pas grec, bulgare, islandais, roumain, albanais ou (nord-) irlandais.
… tu as vu Karim Benzema marquer un doublé pour l’équipe de France de football, bordel !
… du coup, tu ne regrettes pas ce maillot frappé du numéro 19 que tu t’es offert le 19 mai.
… tu sais que certaines choses ne changeront pas : le seum de Thomas Meunier, l’extérieur du pied de Luka Modrić, les mauvaises manières de Joachim Löw.
… tu as eu peur d’Ádám Szalai, et puis finalement, c’est la Mannschaft qui se l’est mangé en pleine poire.
… tu n’es pas Zlatan Ibrahimović.
… tu as aperçu Lucas Digne contre le Portugal. Pendant 286 secondes.
… depuis, tu réfléchis à Benoît Hamon pour combler le trou français à gauche.
… tu suis la compétition sur Twitter et tu as perdu un être cher.
… tu as rapidement oublié la réouverture des cinés, restaurants et bars.
… tu n’en peux déjà plus, de ce refrain de Martin Garrix.
… même topo pour « If I Can Dream » d’Elvis Presley.
… tu n’as pas la force d’enchaîner la nuit avec la Copa América.
… tu sais désormais que l’on peut être élu meilleur gardien d’une phase de groupes tout en commettant la boulette de la compétition.
… tu as cru que David Alaba allait vraiment casser la gueule de cette tête cramée de Marko Arnautović.
… tu as redécouvert des tribunes remplies.
… le Tour de France démarre ce week-end, mais tu ne t’en rendras compte que le 11 juillet.
… tu pensais que Loïc Négo et Aymeric Laporte étaient français. La magie de l’Euro.
… tu as vu Robert Lewandowski, Burak Yılmaz, Teemu Pukki, Aleksandr Golovin, Marek Hamšík et Andrew Robertson passer en coup de vent. C’est déjà ça.
… tu t’es dit que tu ne monterais jamais dans un paramoteur.
… tu attends encore Jadon Sancho. Et Harry Kane, mais pour d’autres raisons.
… tu as presque eu de la sympathie pour la Hongrie. Presque.
… tu te demandes comment la France va réussir à remporter l’Euro sans la règle du but à l’extérieur.
Profitez de 160€ de bonus EXCLU chez Netbet en cliquant ICI pour parier sur l’Euro !Par Jérémie Baron