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Les notes du Real Madrid face à Barcelone

Par Florian Cadu
3 minutes
Les notes du Real Madrid face à Barcelone

Malgré un bon début de match de la Maison-Blanche, Ramos et ses potes se sont, petit à petit, rendu le match compliqué. Même la prestation énorme de Marcelo et les bonnes entrées des remplaçants n'ont pas suffi.

Real Madrid

Navas (6,5) : Décisif pour rien et pas fautif sur les pions encaissés. Plutôt rassurant sur sa ligne, mauvais dans ses sorties. Des relances parfois moisies. Moyen plus plus, quoi. Comme d’habitude. Quelques progrès, aucun déclin. Un mec qui Nava(n)s pas très vite en apparence, mais qui s’améliore quand même.

Carvajal (6,5) : Il fut un temps où un certain Daniel régnait dans le couloir droit lors des Clásicos. Certains ont cru qu’un autre Daniel l’avait remplacé et avait changé de camp. Il n’en est rien. Alves ne se serait jamais fait humilier comme l’a été Carvajal sur les buts de Messi.

Nacho (4) : Le saviez-vous ? Nacho se fait appeler Nacho parce que José Ignacio Fernández Iglesias, c’est trop long à prononcer. Et aussi parce qu’il a parfois tendance à se faire bouffer en soirée.

Ramos (7, puis 6, puis 5, puis 0) : Solide dans son corps, il permet à l’organisme tout entier de rester debout et de montrer les muscles. Indispensable à la survie de la structure qui l’héberge… jusqu’à l’ostéoporose. Sergio Ram’os, croqué par instant avant de totalement craquer.

Marcelo (8) : Paraîtrait que l’Olympique de Marseille compte le recruter. Mais pour le faire évoluer où ? Derrière ? Devant ? Partout, en fait. Vu que personne ne voudra jouer avec lui de peur d’être trop ridicule, ça peut le faire.

Casemiro (1 but, 4 biscottes disparues, 8 transversales magnifiques) : Le gars qui n’ose pas déranger ses potes pour un début d’inondation ou un évier bouché. Celui qui ne laisse pas tout ça en l’état, et préfère donc régler les problèmes seul. Pas le plus fun, mais sacrément utile. Forcément, il y a parfois de la casse. Servez-lui un petit jaune et il reviendra faire la fête en maltraitant du Catalan. Pas suffisant pour que le chef de la maison le vire. Un comportement déjà vu avec les amis allemands la semaine dernière. Kovačić l’a mis au lit en fin de soirée. Sauf qu’on avait encore besoin de lui.

Modrić (5) : « La Liga est l’unique titre que je n’ai pas encore remporté avec le Real Madrid. Je pense que le moment est venu pour la gagner. » Allez, il ne te reste plus que le final, beau blond. Concentre-toi sur le geste juste, oublie la pression, n’en fais pas trop, et le trophée sera à toi. Luka Pouille.

Kroos (4,5) : Multi-usage, la bestiole a été achetée pour rouler sur tous types de milieux et combiner un tas d’avantages. Pas de bol : ce soir, elle était très lente et a énormément consommé. Le modèle discount du Toni Kroossover.

Bale (39 minutes) : Possède le potentiel de Sangohan, mais ne prend pas la peine de se transformer en Super Saiyan, sous prétexte qu’il pourrait tout faire péter. C’est bien beau d’avoir la coupe de Trunks, mais si c’est pour offrir le rendement d’un Krilin… Dragon Bale. Fracassé par une morsure du soleil et sauvé par Asensio (6), qui n’a trouvé aucune boule de cristal malgré le transfert de son énergie à CR7.

Benzema (4) : « Hey Karim, tu redescends ? » « Héé pour quoi faire ? » Bah pour jouer avec tes copains et toucher des ballons… On sait bien que tu n’as plus trop envie de sortir de chez toi avec les résultats politiques du soir, mais bon… Expulsé par Rodríguez, qui a confirmé en marquant que Madrid avait un meilleur banc que le Barça.

Ronaldo (4 étoiles sur 5 selon Tripadvisor) : Chez Cri-Cri, le service est censé être nickel et tout est fait pour se régaler. Seul problème : le digestif n’est pas offert, et la viande mal cuite. Manque donc le principal.

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Par Florian Cadu

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