Les notes du PSG

Gianluigi Donnarumma

C’est bien de faire le show dans sa cage, mais l’essentiel, c’est de faire gagner son équipe ou, a minima, éviter de la faire perdre.

Un fidèle compagnon que Neymar peut câliner moyennant quelques croquettes et dont l’aboiement impressionne toujours par sa puissance. Le Saint-Bernat.

Son ciseau retourné défensif était mieux réussi que celui de Roberto Carlos au Mondial 1998 contre le Danemark, c’est déjà ça. Pour le reste, un capitaine ad hoc.

Danilo Pereira

Comme la minute de sa blessure. « Ils m’ont tous abandonné. Tous, tous, tous abandonné ! » Tatie Danilo. Remplacé par Nordi Mukiele (25^e, 6) pas si mal pour une quatorzième roue du carrosse.

Achraf Hakimi

Son duel face à Nuno Tavares a confirmé la tendance depuis son début de saison : Achraf a cuit vite.

La dernière récupération aussi haute et réussie que l’on avait vue, c’était celle de Jean-Luc Mélenchon avec la création de la NUPES. Et autant le dire tout de suite, il aurait largement sa place à l’Assemblée nationale pour bavarder et contester.

Vitinha

La version miniature de Vitaa a étalé ses confessions nocturnes, et ça s’est logiquement transformé en banger. « Ney, assieds-toi faut que je te parle, j’ai passé ma journée dans l’noir… »

Fabián Ruiz

Une prestation athlétique et jusqu’au-boutiste, comme en témoigne ce dernier ballon du match chipé dans les pieds marseillais. Ce n’est pas Olivia, et cela se voit : il n’a pas mangé trop de chocolat.

Lionel Messi

La Puce de luxe a fait son chiffre habituel, et cela ne semble pas l’inquiéter de devoir partager son temps de travail avec la concurrence. Remplacé par Pablo Sarabia (78^e), pour raccompagner la clientèle vers la sortie.

Armée du PSG > Armée numérique. Affaire suivante.

Neymar

La devise de son pays d’origine met en avant l’ordre et le progrès. C’est probablement pour cela qu’il a fait suer tous les Marseillais. Remplacé par Carlos Soler (88^e), sans crème.