- Disparition de Pelé
L’équipe type des Pelé
Que le Roi ne s'inquiète pas pour sa postérité : en 82 années, et même plus, Pelé a fait des émules jusque dans son nom. De quoi composer une dream team qui a de la gueule, et qui dispose comme capitaine d'un homme ayant participé à la naissance du football.
Yohann Pelé
Le seul endroit où l’Albatros prend plus de place que le Roi, c’est dans les cages. Et heureusement qu’il n’était pas son contemporain, les statistiques du portier en auraient pris un coup.
Défenseurs
Kingsley Pele van Anholt
Lui aussi est allé faire un tour aux États-Unis, mais il a défendu les couleurs du LA Galaxy et non pas du New York Cosmos. En tout cas, les parents de Coman n’ont pas choisi le prénom de leur enfant en son hommage.
Pelé
Pedro Miguel Cardoso Monteiro, de son nom complet. Et arrière central, de son vrai poste. Un gars qui a connu douze clubs différents (dont Southampton et West Bromwich Albion), soit dix de plus que certains homonymes.
Steven Pelé
Style, apparence, coupe de cheveux, rôle sur un terrain, parcours (Guingamp, Strasbourg et même Roumanie)… Rien, mais alors rien à voir avec le Brésilien. Si ce n’est quatre lettres.
Kwame Pele Frimpong
Évoluant habituellement dans l’entrejeu, le retraité dépanne ici en tant que latéral gauche. Comme pouvait le faire Michael Essien, son compatriote. Chacun ses idoles.
Milieux
Bryan Pelé
Oui, Pelé a marqué des buts en faveur de « petits » clubs hexagonaux (Lorient, Brest et Troyes ou encore Guingamp). Et c’était il y a très peu de temps.
Vitor Pelé
A réussi à être titulaire au moins une fois avec l’Inter malgré un effectif disposant de Dejan Stanković, Luís Figo, Patrick Vieira ou encore Olivier Dacourt. Chacun ses exploits.
Judilson Pelé
Actuellement à Famalicão en prêt de Monaco, le Bissaoguinéen de 31 ans pourrait avoir un déclic après l’annonce de la mort du vrai Pelé. Il n’est pas encore trop tard, pour faire décoller sa carrière.
Abedi Pelé
À l’annonce du décès du Sud-Américain, CNN l’a confondu avec l’ancien Marseillais. C’est dire le niveau qu’avait l’ex-Olympien, au début des années 1990.
Par Florian Manceau
