- Ligue des champions
- 8e de finale
En direct : Bayer Leverkusen – Paris S-G (0 – 4)

Le Bayer 04 prend 0-4 à la maison. CQFD.
Les supporters parisiens chantent la Marseillaise. Pourquoi pas. Ils chantent bien « On est chez nous » au Parc des Princes.

LE DEPUCELAGE POUR CABAYE ! Et c’est Leno qui prend le tarif. Ibrahimovic décale intelligemment Maxwell côté gauche. Le centre du latéral parisien est récupéré par Lucas qui sert Cabaye en retrait. L’international pose un plat du pied dans la lucarne de Leno. Easy. 4-0.
Oh Javier ! Superbe centre à ras de terre d’Ibrahimovic pour Pastore qui tacle le ballon. Leno repousse. La soirée aurait pu être parfaite.
Kiessling n’a pas touché un ballon de la tête. Le garçon s’est fait victimiser par Thiago Silva et Alex.
Ibrahimovic joue milieu relayeur depuis cinq minutes. Le Suédois veut tâter le cuir.
Passe à dix du PSG depuis deux minutes. Gênant.

Paris profite de cette opposition d’entraînement pour préparer le déplacement à Toulouse.
La soirée ne sera belle pour le PSG que si Javier Pastore entre en jeu. Un viol oui, mais un viol élégant.
Lucas et Lavezzi ne devraient jouer que des huitièmes de finale aller de Ligue des Champions.

But de Matuidi, ou csc de Wollscheid, au choix. De toute façon c’est refusé pour un hors-jeu de Lavezzi. Fait-il action de jeu ? Difficile à dire.
Quand tu veux tu sors Matuidi Lolo, quand tu veux.
Cimer Ballon d’or-mones.
Troisième humiliation signée Verratti. Cette fois, c’est le capitaine qui subit. Verratti 3 – Motta 1.

Matuidi fait une faute mais évite le deuxième jaune. Blanc va le sortir.



Le Barça mène 1-0 à City. Penalty + rouge. Evidemment.
Les Allemands rentrent enfin dans Paris. Ils étaient plus rapides à l’époque.






IBRAHIMOVIC VOUS DIT BONSOIR ! Décalé côté gauche, Maxwell centre pour Matuidi dans la surface. Dos au but, le premier buteur du soir sert Ibrahimovic en retrait. Le Suédois balance une énorme mine du gauche. Sous la barre de Leno. 3-0.

GOAAAAAAAAAL IBRAHIMOVIC ! Evidemment, Ibra se charge du penalty. Evidemment, ça fait but. 2-0 pour Paname.

PENALTY POUR PARIS ! Spahic tire le maillot de Lavezzi qui s’écroule. C’est logique. Mario Yepes approuve.
Première humiliation signée Motta. Verratti mène 2-1.
Frappe lointaine de Spahic. Sirigu sort de sa sieste et capte le ballon.
Deuxième humiliation signée Verratti. Dribble dans sa surface. Gros porc.
On est bien en phase finale de Ligue des Champions : Ibrahimovic est nul.
« Celui qui conduit, c’est celui qui ne boit pas ». Sam a bu ce soir. Passe directement en touche.
Spahic fait le malin avec Ibrahimovic. Le mec croit encore parler à Guillaume Hoarau.
Apparemment on assiste à un match de handball à Manchester. Restez ici.
Le parcage des supporters parisiens se vide. La peur des embouteillages.


Ibrahimovic ! Au duel avec Matuidi, Leno se déchire. Aux six mètres, Ibrahimovic tente la reprise du gauche. C’est contré par Toprak.
Première humiliation de Verratti sur Rolfes.
Petite réaction du Bayer, Son déborde côté gauche et centre pour Sam dont la frappe passe 15 mètres au-dessus.
Stéphane Guy : « Le banc du PSG est plus cher que le onze titulaire du Bayer Leverkusen. CQFD ».
Laurent Blanc, si t’en a des grosses, tu sors Matuidi et tu fais rentrer Cabaye. Pas besoin de risquer le rouge.


BOUM MATUIDI ! C’est Blaisou lui-même qui récupère le ballon à 30 mètres du but du Bayer. Le ballon revient sur Verratti qui sert Matuidi dans la profondeur. La frappe de l’international français est dégueulasse mais ça rentre. 1-0 pour Paname. Déjà.

L’hymne de la Ligue des Champions est la plus belle musique du monde. Voilà.
Javier Pastore est sur le banc. Le football élégant a perdu ce soir.
Car oui, le futur champion d’Europe, c’est Leverkusen. En tout cas, c’est ce que semblent penser les grands experts du football qui, depuis une semaine, font du Bayer un monstre sacré du foot européen. On va voir ça ce soir.
Salut les pitres ! Très grosse soirée Ligue des Champions en perspective. D’un côté, Manchester City – Barcelone, de l’autre Leverkusen – PSG. Pour suivre le futur champion d’Europe, restez ici.
Quentin Moynet





























