Cette saison, en Bundesliga, on a vu…

…Jupp Heynckes devenir plus rouge que rouge.

…Jupp Heynckes discuter avec son chien sous la pluie.

…Jürgen Klopp sauter dans tous les sens.

…Rafinha et ses coups de pute.

…Holger Badstuber se faire le genou. Deux fois. Courage, bonhomme.

…des supporters en grève.

…Felix Magath torturer des joueurs. Jusqu’à ce qu’il se fasse virer. Ouf.

…de belles surprises: Fribourg, chaque année condamné à la descente, mais surtout l’Eintracht Francfort.

…la détresse de Campino (Die Toten Hosen) quand son Fortuna Düsseldorf a été relégué.

…le Bayern exploser tout le monde. Rekordmeister.

…Tim Wiese dire qu’il souhaitait se qualifier pour la Ligue des Champions avec Hoffenheim. LOL.

…Michel Bastos arriver dans un championnat où il peut s’exprimer pleinement.

…Schalke 04 battre le Borussia Dortmund deux fois dans le derby de la Ruhr. Saison réussie.

…Rafael van der Vaart frapper sa Sylvie, pour finalement se séparer d’elle et se mettre avec la meilleure amie de Madame, qui s’avère être l’ex de Khalid Boulahrouz. Telenovela.

…Arjen Robben faire des passes.

…Arjen Robben défendre.

…Alex Alves (ex-Hertha) passer l’arme à gauche. Saloperie de cancer. RIP.

…Boris Vukcevic se crasher en bagnole. Plus de peur que de mal.

…Une défaite du Bayern sur sa pelouse face au Bayer. La seule à domicile. La seule de la saison.

…Julian Draxler s’imposer en leader au sein de l’effectif du FC Schalke 04. Prends ça, Mario Götze.

…Stefan Kiessling faire une saison de dingue. Et ne pas être sélectionné par Joachim Löw.

…Roman Weidenfeller faire une saison de dingue. Et ne pas être sélectionné par Joachim Löw.

…Greuther Fürth disputer sa première saison dans l’élite. Et reprendre l’ascenseur fissa.

…Uli Hoeness être mis à mal à cause d’un compte en Suisse. Et réagir dans la foulée en annonçant la signature de Mario Götze au Bayern pour 37 millions. Le tout avant de cruciales demi-finales. Timing.

…Nuri Sahin revenir dans le business. Et ça fait plaisir. Vivement les retours de Kagawa et Podolski.

…Franck Ribéry en maître de cérémonie

…Un milieu de terrain espagnol de plus d’1.90m.

…Manuel Neuer tourner le dos au jeu en plein match.

…un couple se briser au bout de 14 ans. Klaus est parti à Wolfsburg, laissant Thomas Schaaf-ouin.

…Hanovre devenir la plus grande communauté francophone de Bundesliga, devant Fribourg.

…Ivan Perisic et Arjen Robben se disputer pour le titre de « meilleur sosie de Dany Boon » .

…Diego presque redevenir le joueur qu’il était. Presque.

…Daniel Bierofka se faire péter le nez par un arbitre, qui levait le bras pour signaler un arrêt de jeu.

…Hoffenheim se séparer de Babel, puis de Babbel.

…la modique somme 1,6 millions d’euros collectée par la DFB auprès des clubs de 1ère, 2ème et 3ème divisions pour l’utilisation de fumigènes. Un business qui marche.

…des jumeaux jouer les premiers rôles dans deux clubs différents. Comment va Fabio sinon?

…un joueur, le Brésilien Welington França, faire 9 cm de moins qu’annoncé lors de son recrutement. Et être atteint de tuberculose en prime.

…Denis Aogo centrer inlassablement. Pour rien.

…Matthias Sammer, ancienne idole du BVB, mettre de l’ordre (et la morale) dans la maison Bayern.

…trois joueurs du Bayern finir aux trois premières places du classement des passeurs

…Claudio Pizarro inscrire un quadruplé et devenir le meilleur buteur étranger de l’histoire de la Bundesliga.

…un 9-2 Pâques.

…des maillots Jako dégueulasses.

…Steve Cherundolo boucler sa quatorzième saison à Hannovre. Un vrai G.I.

…Santana annoncer sur Facebook qu’il rejoignait Schalke, alors qu’il venait juste d’être consacré héros à Dortmund après son but face à Malaga.

…un Lothar Matthäus vouloir 1 million de « likes » sur Facebook pour revenir jouer au football.

…un Jens Lehmann attendre un coup de fil de l’équipe paralympique pour revenir jouer au football.

…un petit garçon envoyer son argent de poche pour sauver son club de coeur.

…Sven Ulreich dépasser la barre des cent matchs d’affilée, battant le record de Timmy Simmons.

…Jupp Heynckes être enfin reconnu à sa vraie valeur. Et ça, c’est beau.