Petrov doit être bridé
Comme les chiens de chasse capables de mourir d’épuisement, Martin Petrov ne sait pas s’arrêter si l’on en croit son coéquipier et défenseur à Bolton Paul Robinson.
Du coup, le défenseur gauche passe tout le match à dire à l’ailier de ne pas courir pour rien: « C’est un joueur qu’il faut laisser libre d’aller et d’attaquer les adversaires de front. Parfois c’est difficile car il faut lui mettre des reines pour qu’il garde de l’énergie » .
C’est ça aussi d’être né en ex-URSS.
MM
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