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Le Barça met un pied en finale

SO
Le Barça met un pied en finale

Barcelone 1-0 Valence

But : Suárez (67e) pour le Barça

Un plan presque parfait.

Sans Geoffrey Kondogbia, Ezequiel Garay ou encore Gonçalo Guedes, blessés, Valence est venu au Camp Nou avec un objectif bien clair : garder le 0-0 en attendant le match retour. Une mission remplie avec brio en première période où, malgré la confiscation totale du ballon, les Blaugrana n’arrivent pas à mettre en danger Jaume Domenech, pour le plus grand malheur des supporters qui luttent pour ne pas s’endormir.

Heureusement pour eux, le Barça dispose dans ses rangs d’un certain Lionel Messi, pour qui aucun mur n’est infranchissable. Et c’est ainsi que l’attaquant argentin s’infiltre une première fois dans la surface des Chés, mais sa frappe dans un angle fermé passe de peu à côté (48e). Tant pis, Messi a trouvé la faille et lorsqu’il se retrouve au même endroit vingt minutes plus tard, la Pulga distille une pichenette millimétrée en retrait qui s’écrase sur le crâne bien dur de Luis Suárez pour délivrer le Camp Nou (1-0, 67e). Ce but ne change pas les plans des hommes de Marcelino, mais donne de la force au Barça. Les Blaugrana tentent de doubler la marque, mais le coup franc de Messi rase la lucarne (76e), tandis que les frappes de Coutinho (74e) et de Paco Alcácer (79e) sont captées par Domenech.

Et pourtant, Valence aurait pu se montrer dangereux sur quelques contres, mais les erreurs techniques et la puissance de Samuel Umtiti en ont décidé autrement. Si les Chés veulent empêcher le Barça d’accéder à une cinquième finale de Coupe du Roi consécutive, ils vont devoir faire un meilleur match retour dans une semaine à Mestalla.

Barcelone (4-4-2) : Cillessen – Sergi Roberto, Piqué, Umtiti, Jordi Alba – Aleix Vidal (Coutinho, 58e), Rakitić (Paulinho, 68e), Busquets, Iniesta (Alcácer, 73e) – Messi, Luis Suárez. Entraîneur : Ernesto Valverde.

Valence (4-4-2) : Jaume Domenech – Montoya, Gabriel Paulista, Vezo, Gayá – Soler (Torres, 76e), Parejo, Coquelin, Andreas Pereira (Maksimović, 46e) – Rodrigo (Mina, 82e), Vietto. Entraîneur : Marcelino.

Non, Manuel Pellegrini n’est pas le premier à proposer une « révolution »

SO

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