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  • Ligue 1
  • J12
  • Saint-Étienne-Lyon (0-5)

Les notes de Saint-Étienne

Par Florian Cadu
2 minutes
Les notes de Saint-Étienne

Soirée difficile pour les Verts, qui n'ont absolument pas été à la hauteur de l'événement. Que ce soit sur le plan offensif ou dans le domaine défensif, les vaincus du derby ont été en dessous de tout dans un match où ils devaient pourtant montrer qu'ils en avaient dans le bide.

Saint-Étienne

Ruffier (5) : L’un des meilleurs des siens, malgré les cinq pions encaissés. Comme d’habitude. Avec un autre que lui, les Verts seraient en train de batailler en compagnie de Bastia en National 3. Un gars à qui on peut se (Ruf)fier.

Pierre-Gabriel (2) : Ronaël n’aime pas trop les matchs à tension. Il y a moins d’un an, il se faisait tabasser par cinq ou six joueurs de Sens. Ce dimanche soir, il s’est fait assassiner par Depay, Aouar, Tousart ou Marçal. Un mec à embrouille, parce que trop gentil. A laissé sa place à Janko, qui, il fut un temps, appartenait à Manchester United.

Théophile-Catherine (3,5) : Plutôt serein, plutôt calme et plutôt propre. Étonnant, puisqu’en ce jour de derby, on pensait le voir faire ça :

Vidéo

Lacroix (1) : Comme son nom l’indique, il n’a fait que des passes. Pas de rond, pas de carré, pas de triangle quand il avait la balle. Puis il a posé la manette et a regardé les autres jouer. Avant d’appuyer sur tous les boutons façon Tekken et de tenter le KO sur Fekir. Game Over.

M’Bengue (3) : Aucune erreur particulière. Suffisant pour obtenir une jolie note ? Bien sûr que non. Surtout quand la meilleure action d’un match constitue une semelle sur le talon de Nabil. Suppléé dès la pause par Pogba, histoire de changer l’issue du match.

Selnæs (3) : Une qualité de passe aussi élégante qu’un e dans le a. Et c’est tout. Insuffisant pour donner un bon mélange. Le Sel sans le plat qu’il est censé assaisonner.

Maïga (4) : « Oh Maïga, Maïga / He remind me of a westside story / Growing up in Spanish Harlem / He livin’ her life just like a movie star. » Malheureusement, la star se trouvait être son adversaire direct.

Pajot (4) : A tenté de tenir le navire, mais la mer était bien agitée et les vagues trop imposantes. Marc Pajot.

Hamouma (10 minutes) : « On me voit, on m’voit plus. » Remplacé par Søderlund (3,5), encore plus fort que Chantal Lauby.

Monnet-Paquet (3) : L’ordre naturel des choses a parfois une logique. Si Kévin n’a jamais fait de saison à plus de six buts en Ligue 1, c’est qu’il y a une raison. Et s’il s’appelle Monnet-Paquet, c’est parce qu’il ne coûtera jamais un paquet de monnaie.

Bamba (3,5) : Trop tendre. Beaucoup trop tendre. Mais mignon. Jonathan Bambi.

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Par Florian Cadu

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