L’Equipe (type) du Dimanche
Du foot presque partout en Europe. Des belles choses et des moins belles. Retour sur ces joueurs qui se sont distingués ce week-end, d'une façon ou souvent d'une autre.
L’EQUIPE :
Coupet (PSG) : Guillermo Vilas préfère désormais jouer sans sa raquette. Pour arrêter les balles de Nenê, c’est de suite moins facile.
Santon (Inter Milan) : Le côté droit de l’année dernière, c’était Alves-Messi. Le côté gauche de cette saison, ça pourrait bien être Santon-Eto’o, à partir du moment où le Camerounais décroche.
Mexès (AS Roma) : Participer au redressement de la Roma, c’est sa qualification en Coupe du Monde à lui.
Rio Ferdinand (Manchester United) : Tottenham est toujours aussi mordant que lors des premières journées. C’est juste que face à Rio, ça passe pas.
Caceres (Juventus) : La Serie A est le meilleur championnat pour les latéraux sud-américains. On peut monter et attendre dans la surface adverse pour caler sa frappe. Après Maicon, voici Caceres, transfuge du Barça.
C.Zanetti (Fiorentina) : Prandelli a introduit un loup pour mener sa bergerie. La Fiorentina a grandi.
Fagan (Hull City) : Une belle main dans la surface qui plombe le match de son équipe. Inutile. N’est pas Gérard Piqué qui veut.
Benayoun (Liverpool) : Un triplé, ça ne peut pas être que de la chance, alors un doute s’installe : si ça se trouve, il n’y a pas que Gerrard et Torres à Liverpool.
Ribéry (Bayern) : Son coach, lui, le fait rentrer suffisamment tôt pour qu’il puisse scorer d’un coup franc imparable.
Trezeguet (Juventus) : Première titularisation, premier but. Une grosse présence dans le jeu aérien et la sensation qu’il peut marquer à tout moment. C’est bête pour les Bordelais.
Adebayor (Manchester City) : Un but, un coup sur un ancien coéquipier, une célébration provocante : On peut difficilement rêver d’une plus belle revanche.
LE BANC :
Buffon (Juventus) : Il a couru d’un coin de son but à l’autre pour arrêter une balle avec son mollet. Ed Warner n’est pas qu’un personnage de dessin animé.
Diakithé (Lazio) : Le jeune Français de la Lazio a prouvé qu’il ne faisait pas de la figuration. Avoir sa chance si jeune dans le Calcio, chapeau.
Duff (Fulham) : A décidé de reprendre sa carrière. Il l’avait arrêtée en 2006 pour ouvrir une clinique à Newcastle.
Rothen (Rangers) : Ne marque même pas pour son premier match en Écosse. La honte. Même Guivarc’h a réussi.
Biabiany (Parme) : Il découvre San Siro avec Parme alors qu’il a été acheté par l’Inter. Pour se venger, il traverse le terrain balle au pied et fait se lever tout le stade. On connait la suite, Moratti va sortir le chéquier…
LE COACH :
Guy Lacombe (Monaco) : En moins de deux mois à Monaco, il a donné plus de style à l’équipe que Ricardo en deux ans. Bon surtout, il a fait péter la chemise blanche et la cravate.
LE STADE :
Louis II : Des fumigènes à Monaco ? Soyons sérieux.
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