- France
- Téléréalité
- Claudia Romani dans Secret Story
Claudia Romani, arbitre secrète

Depuis une semaine, Claudia Romani impose son physique et son charme gonflé dans Secret Story. Une nouvelle étape dans la vie de l'Italienne qui, il y a moins d'un an, faisait parler d'elle en décrochant un diplôme d'arbitre. Et exposait déjà ses atouts.
Sur le plateau de Secret Story, les adolescents amassés par dizaines répondent avec vigueur aux appels du chauffeur de salle. Plus d’un an qu’ils attendaient ça, rongés par l’impatience et mis en émoi par les visages des candidats qui émergent de cette fumée d’effet. Au milieu des Marseillais et Belges, qui constituent décidément un vivier immense pour les casteurs de téléréalité, elle apparaît enfin. Accompagnée de son copain brushé et dans une robe qui ferait passer Eve Angeli pour une prêtresse de la décence, Claudia Romani est tout sourire. Car, en participant à l’émission phare de TF1, l’Italienne vient d’avancer un premier talon vers le chemin de la célébrité éphémère. Plus qu’une opportunité, un réel désir pour la plantureuse qui, il y a un peu moins d’un an, se révélait – ou presque – aux yeux du football. Grâce à un diplôme d’arbitre médiatisé à la force du décolleté, et forcément, une conception particulière de la fonction.
Un domaine qui demeure sexiste
« Je regardais la Coupe du monde et j’ai vu quelques mauvaises décisions arbitrales, du coup, j’ai pensé que je pourrais être plus juste ! » Au moment d’évoquer sa vocation, Claudia Romani se fait claire : elle veut être meilleure que les hommes en jaune qui officient sur les prés verts. Une ambition somme toute noble, qui conduit la belle à passer les tests juste après l’événement brésilien. Et c’est en Floride, lieu où elle est établie depuis 2010, que la jeune femme débute son apprentissage : « C’était surtout des cours en ligne, et pour être honnête, je n’ai pas vu d’autres filles. C’est un domaine qui demeure assez sexiste dans de nombreux pays… Alors j’ai décidé d’être un exemple pour celles qui voudraient le faire, mais n’osent pas parce qu’elles sont des femmes. » Porte-étendard revendiqué des opprimées de l’arbitrage, Claudia Romani devient même une attraction lorsque que ses photos en tenue rayée sont débusquées par les gazettes transalpines. Et laisse courir les rumeurs les plus folles. À en croire les sources bien renseignées, elle pourrait même tenir sous peu des rencontres de Serie A et B. Une affirmation trop gonflée pour la belle : « Je ne pourrai pas faire ça ! Mon histoire a été déformée par les médias. J’habite aux États-Unis, je vais commencer par des ligues mineures ici. Et puis je ne veux pas quitter le monde du mannequinat comme cela a été dit. Je vais essayer de jongler entre les deux activités. »
Égérie et Super Pippo
Une affirmation alors crédible tant les deux mondes se sont souvent croisés durant la vie de Romani. En Italie, Claudia est en effet devenue représentante du club de sa ville natale, l’Aquila. Un coup de pub pour les deux parties qui n’égale toutefois pas le coup de maître de la belle : avoir attiré dans ses filets un homme qui s’y est collé plus que quiconque durant sa carrière, Pippo Inzaghi. Ténus, mais existants, les liens entre Romani et le football existent donc depuis des années. Et si le coup médiatique pouvait l’an passé se justifier par l’intérêt de la belle pour la balle ronde (et vice versa), force est de constater que la fumisterie ne tient plus. Car celle qui nous assurait vouloir « prouver sur le terrain et laisser les autres juger de ses performances » n’a pas suivi le chemin de la ligne blanche. Passé ce photoshoot d’un glamour plus qu’incertain, Claudia Romani s’est en effet faite discrète sur les pelouses, délaissant ses belles ambitions sur l’autel de sa célébrité Instagram. Jusqu’à vendredi, et son entrée dans la « Maison des secrets » et, donc, l’enterrement définitif de cette carrière aguicheuse. Que les déçus se rassurent néanmoins. Car dans l’aventure, Claudia pourrait voir sa flamme pour le football se raviver. En effet, l’un des candidats dispose du secret suivant : « Je suis le cousin de Zinedine Zidane. » Forcément une bonne excuse de ressortir le sifflet.
Le Real Betis et la Fiorentina tiennent leur rang, Djurgårdens en mauvaise posturePar Raphael Gaftarnik