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L’Atlético offre une leçon de réalisme au Betis

JD
L’Atlético offre une leçon de réalisme au Betis

Real Betis 0-2 Atlético de Madrid

Buts : Simeone (4e), Baena (45e+1) pour les Colchoneros

Au coude-à-coude avant le coup d’envoi avec 16 points chacun, le Real Betis et l’Atlético n’ont pas vécu le même match ce lundi soir. Au terme d’une bonne mi-temps et d’une autre à oublier, les Colchoneros repartent d’Andalousie avec deux buts plantés et trois points récoltés.

La rencontre débute d’entrée de jeu sous le signe du Simeonisme. Non pas du Cholo, mais de son rejeton. Profitant d’un dégagement raté de Héctor Bellerín, Giuliano Simeone tente sa chance d’une reprise de volée du gauche qui ne laisse aucune chance à Pau Lopez. C’est dedans, mais l’ancien gardien de l’OM n’est pas à la rue pour autant. Sur une parade de grande classe, il empêche Nicolás González de faire le break dix minutes plus tard. En revanche, le portier sévillan est impuissant face à Alex Baena. Dans le temps additionnel, le milieu conclut parfaitement une contre-attaque madrilène, malgré les protestations des joueurs du Betis qui réclamaient un penalty pour une faute commise dans la surface adverse.

Au retour des vestiaires, la troupe de Manuel Pellegrini continue de prouver qu’elle a du répondant. Entré à la place de Marc Roca, Giovani Lo Celso se signale d’entrée de jeu mais, comme Abde Ezzalzouli et Cédric Bakambu, l’ancien Parisien se casse plusieurs fois les dents sur un Jan Oblak imprenable, contrairement à ses partenaires de champ qui ne parviennent plus à inquiéter Pau Lopez. Aucun tir à comptabiliser pour les Madrilènes en deuxième période (contre 12 pour le Betis), mais une bonne opération comptable malgré tout : avec cette première victoire à l’extérieur de la saison, l’Atlético chipe la quatrième place du classement à l’Espanyol et met trois points dans la vue à son adversaire du soir.

Rodrigo Riquelme change de crémerie

JD

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