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Layvin Kurzawa : « La France, j’ai vraiment mis une croix dessus »

AL
Layvin Kurzawa : « La France, j’ai vraiment mis une croix dessus »

L’heure des règlements de compte.

Après neuf ans passés au Paris Saint-Germain, Layvin Kurzawa a annoncé son départ de la capitale mi-mai dernier. L’histoire a été chaotique, avec seulement 29 matchs sur les quatre dernières saisons à Paris, mais le latéral gauche a malgré tout quelques offres sur la table. Dans une interview accordée au média Carré, l’ancien Monégasque a fait le point sur ses potentielles destinations. « C’est vrai (à propos d’un intérêt des deux clubs de Séville, NDLR), et si j’ai pris le temps d’aller visiter, c’est que c’est quelque chose qui me plaît. Il y a beaucoup de clubs français qui se sont approchés, mais la France, j’ai vraiment mis une croix dessus. Je sais l’image qu’on a de moi en France, qui n’est pas la bonne d’ailleurs. Je pense qu’on a l’image d’un mauvais garçon. Je ne suis pas moche non plus, il faut le dire. Et quand tu as de l’argent, que tu n’es pas moche, quand tu joues au football, en France, ils n’aiment pas », a-t-il lâché.

Prolongé par le PSG à l’été 2020, le défenseur avoue aujourd’hui ne pas avoir compris cette proposition du club : « J’étais chez moi, et à cette époque, il y avait un transfert avorté avec la Juventus. Le jet était prêt pour Turin, et mon ancien agent m’appelle pour me dire que Paris veut me prolonger de quatre ans. Je me pose la question aussi de ce qu’il s’est passé. Tu m’offres ça, bien sûr que je ne vais pas dire non. Qui dit non à un contrat où on t’augmente ? À cette époque, j’avais joué certains matchs. Pour mes enfants et tout ce qui m’entoure, on m’offrait quatre ans. C’est de la stabilité, je pensais aussi que je pouvais regagner ma place. Mais si c’était à refaire, je ne l’aurais pas fait. Je ne dirais pas que c’est une connerie, je dirais que j’aurais dû plus y réfléchir. »

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