Hantz et l’absence de révolte

Une heure de jeu, puis la catastrophe.

En déplacement à Monaco, Montpellier a fait bonne figure durant 60 minutes. Le temps de mettre deux buts et d’en encaisser autant. Mais ensuite, les hommes de Frédéric Hantz se sont écroulés, prenant quatre pions dans la tronche. Ce qui inquiète l’entraîneur français, assez dubitatif en conférence de presse, rappelant que son équipe n’avait pas de hautes ambitions cette saison : « Ce qui me gène, c’est qu’il n’y a pas d’esprit de révolte.(…)Le classement de la 10^e journée de L1 reflète généralement souvent ce qui se passe en fin de saison. On va être a la lutte en bas. »

Le coach n’a en revanche pas souhaité rejeter la faute sur un de ses hommes en particulier : « Jourdren ? Si on parlait des cas individuels, il y aurait beaucoup de cas à évoquer, dont celui-là. Il faudra des discussions. » Ne reste pas là, Boudebouz.