Pourtant, le président omnipotent Jean-Michel Aulas se la joue philosophe : « C'est une année que la plupart des clubs auraient aimé connaître. C'est en la comparant à ce que l'on avait fait auparavant, qui était exceptionnel, que l'année 2009 est apparue en demi-teinte. Cela faisait près de 10 ans que l'on n'avait plus connu d'année sans trophée. Sur un plan personnel, je suis partagé entre la peine, l'humilité qui amène la remise en cause et la volonté de montrer la voie à tout le monde pour donner l'impulsion. Lorsque l'on se retrouve au niveau des meilleurs mais sans être le meilleur, il y a un petit goût amer. C'est d'autant plus perceptible qu'à Lyon on aime la performance mais également le beau jeu. On est donc restés en deçà de ce que l'on pourrait être dans le futur » .
2010, année de la résurrection ?
Vous avez relevé une coquille ou une inexactitude dans ce papier ? Proposez une correction à nos secrétaires de rédaction.